Après la noirceur et l'austérité de La gueule ouverte, Pialat se tourne vers la jeunesse et force le trait, force le drame de chaque personnage, mais insuffle aussi beaucoup d'humour. Et si parfois certains dialogues nous apparaissent moins naturels que ce à quoi le Maurice nous a habitué jusque là, nombreux sont les instants touchés par la grâce. Pour ne rien gâcher, la photographie est remarquable.
Tom_A
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le 23 juil. 2013

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Tom_A

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