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Unis à jamais
Comment oublier Gary Cooper, magnifique dans ce personnage de Peter, devenu architecte à Londres à la fin du XIXè siècle, hanté par le souvenir de son amour d'enfance, la jolie Mimsy qu'il a dû...
Par
le 29 juil. 2011
29 j'aime
15
75 ans avant Inception.
Peter Ibbetson fait parti de ces films en apesanteur, une merveille de réalisation et de jeu d'acteur. Gary Cooper et Ann Harding sont on ne peut plus troublants.
L'histoire est à la fois forte comme la fatalité et légère comme un rêve.
Une histoire d'amour d'autant plus bouleversante qu'improbable, d'autant plus déchirante que magnifiée.
Une histoire qui remue les tréfonds de l'âme, qui brasse tout ce qui en nous est du ressort du souvenir, des amours d'enfance, qui fait vibrer la corde la plus sensible, la plus belle des émotions, celle qu'on trimballe dans un petit recoin enfoui, depuis qu'on sait que l'amour absolu peut exister.
Les scènes oniriques sont splendides et magiques, et le parfum de nostalgie qui se dégage du récit est parfaitement enivrant.
Intemporel.
L'histoire est à la fois forte comme la fatalité et légère comme un rêve.
Une histoire d'amour d'autant plus bouleversante qu'improbable, d'autant plus déchirante que magnifiée.
Une histoire qui remue les tréfonds de l'âme, qui brasse tout ce qui en nous est du ressort du souvenir, des amours d'enfance, qui fait vibrer la corde la plus sensible, la plus belle des émotions, celle qu'on trimballe dans un petit recoin enfoui, depuis qu'on sait que l'amour absolu peut exister.
Les scènes oniriques sont splendides et magiques, et le parfum de nostalgie qui se dégage du récit est parfaitement enivrant.
Intemporel.
8
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Créée
le 26 mars 2011
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2 commentaires
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