Rainman et Forrest Gump l'avaient déjà démontré : tout le monde a le droit d'être aimé pour ce qu'il est. Même un gars avec une névrose grosse comme un camion, fermé à toute empathie, exempt du moindre humour, égocentrique, obsessionnel et volontiers tyrannique. Avalée cette énorme Valda, il reste une esthétique soignée, des acteurs admirables (notamment la sœur dudit joyeux luron...) et une histoire pas complètement dénuée d'intérêt, il s'en est fallu de peu... un conseil : restez jusqu'au bout, c'est presque comme un Shyamalan... ^^ En plus indigeste, il faut l'avouer, façon potage aux champignons laxatifs. Mais bon, ça n'est pas mauvais non plus, ça pourrait trouver son public. Ça a déjà trouvé son public ? Ah, ben parfait, mes contemporains sont des puits de bienveillance et j'ai toujours un train de retard.
Créée
le 16 août 2020
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