Plaire, aimer et courir vite, le nouveau film de Christophe Honoré, présenté au Festival de Cannes, expose la difficile réalité des homosexuelles dans les années 90. Il lève le voile sur la solitude des victimes du sida, de la souffrance silencieuse que cela amène et d’une volonté de vivre toujours intensément. Sans nul doute une œuvre qui a le mérite d’ouvrir l’esprit.
Plaire, aimer et courir vite relate la rencontre entre un jeune homme qui habite Rennes, dont la vie sentimentale tangue entre homme et femme et entre Rennes et Paris. Et un écrivain qui se sait condamné par le Sida et qui se bat silencieusement pour vivre toujours.
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