Les bribes pas si éloignées les unes des autres de la vie de Sophie sont aussi touchantes et drôles, qu'acides. Mais à force de répétition de son gimmick de l'humiliation, la compilation semble un peu rayée.
J'etais pourtant emporté par ce noir et blanc lumineux à la Masculin Féminin au plus près des peaux et des visages. Mais j'ai attendu en vain que cette chronique de la destinée sociale trouve un chemin. Le Eden de Mia hansen love avait su se frayer un passage dans l'agonie des ambitions, dans un registre certes bien différent.
Les derniers morceaux en forme d'échappée de playlist ne brillent pas par leur originalité.
Seul les magnifiques interprétations féminines auront réussi à trouer ce monde vraiment si méchant.