Predator fait partie de ces films qui ont marqués le cinéma d’action américain des années 80 porté de grands noms comme, Sylvester Stallone, Steven Seagal, Chuck Norris, Jean Claude Van Damme ou encore Arnold Scharzennegger qui occupe dans ce film le rôle titre.
Toute l’action du film se déroule dans une jungle étouffante, moite et menaçante.
Ces menaces sont présentées à nous de manière ordonnée.
Dans un premier temps nous avons la menace humaine servant ici de prétexte pour faire venir l’escouade de Dutch.
Ensuite nous avons la faune avec des scorpions, cochons et serpents.
La créature agit tout ce temps dans l’ombre.
Cette escalade dans les menaces et l’horreur arrive à son terme avec la découverte de la créature, menace inconnue du genre humain jusqu’à présent.
Predator fait l’éloge de la superpuissance de l’Amérique et plus spécifiquement de son armée.
L’homme fort et bodybuildé propre au cinéma d’action américain des années 80 est au centre de l’oeuvre.
L’acte final renvoie même cette homme fort et armé jusqu’au dent à l’état sauvage montrant ainsi que la superpuissance Américaine est présente partout.
Le ton du générique de fin avec la présentation des acteurs contraste avec le ton dramatique du film, comme si les auteurs voulaient dénoncer l’absurdité de ce qu’on venait de voir à l’écran.
En effet tout parait exagérée.
Predator, premier du nom est une oeuvre marquante du cinéma d’action américain des années 80 pour avoir notamment donné naissance à l’une des créatures les plus mythiques de la pop culture.
Le film est porté par l’un des fers de lance de cette mouvance, Arnold “mister univers” Scharzennegger tout en muscle, ayant contribué à son succès avec ses célèbres punchlines parmi les plus marquantes des années 80, de sa carrière et plus largement du septième art.
Le film, par ces caractéristiques énoncées ci dessus a pas mal vieilli mais reste agréable à suivre pour quiconque souhaiterait se plonger dans le cinéma des années 80.
PS : ce n’est pas Daniel Beretta qui double Scharzennegger dans la version française mais Richard Darbois (doubleur principal de l’acteur Harrison Ford) et c’est assez déstabilisant