Cela fait du bien de voir un vrai bon film de SF au ciné, sans flingue, sans cap, sans Matt Damon. Surtout quand celui a un petit message humaniste bien sentit. Le langage comme seul moyen pour faire face puis s’ouvrir à l’Autre et qui au final transcende. Sur la forme, la première partie est vraiment ouf et la fin un peu moins. Oui une petite réserve quand même sur les facilités d’écritures (mots clés : chinois – réception de l’ambassadeur) qui surlignent au stabilo XXL le sous-texte du film. Il n’y en avait pas besoin Mr les producteurs (une version director’s cut plus tard ? J’y crois). Du coup le côté méta du film fait un semi-petit plof à la fin. Bon n’est pas Kubrick qui veut mais t’inquiètes Denis.
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Créée
le 14 janv. 2017
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