Quantum of Solace, ou la mort d'un James Bond qui agonisait déjà dans Casino Royal.
Le célèbre agent du MI6, classe, distingué, fin... British en somme, s'est définitivement métamorphosé en espèce de brutos américano-hollywoodien assez imbuvable et qui n'a plus rien à voir avec le personnage d'origine.
On assiste avec une déception croissante à un enchainement de courses-poursuites invraisemblables et les personnages défilent, creux et inutiles.
J'ai fini la dernière demi-heure en avance rapide, je n'ai du coup pas compris le pourquoi du titre du film mais c'est vraiment pas ce qui me chiffonne le plus.
J'en ai la gerbe, je dois y aller.