Critiques de Quatre nuits d'un rêveur

Robert Bresson tente avec les Quatre Nuits ... d'établir une passerelle entre Dostoievski (la nouvelle "Les nuits blanches", déjà adaptée, de façon très différente, par Visconti) et l'univers...

Au premier plan, jacques. C'est dimanche, il ne sait pas où il va, mais il y va, et il est heureux. Jacques erre dans les rues de Paris. Il ne parle jamais à personne. Jacques est un rêveur amoureux...

Un objet étrange qu'on pourrait voir comme issu d'une Nouvelle Vague très tardive (1971, donc pas du tout Nouvelle Vague), et adapté d'une nouvelle de Dostoïevski, "Nuits blanches" — 12 ans après le...

Il est triste de voir que ce film est parmi les moins connus de Bresson... Car malgré son aspect mineur, tout y est remarquable. Dans cette adaptation d'une nouvelle de Dostoïevski, un dandy...

je sais plus pourquoi après avoir regarder un film soporifique de truffaut je repense à ce film quelques mois après l'avoir vu. la fin est exactement la même que celle du dernier des rendez-vous de...

Aux abords du pont Neuf, un jeune homme se balade, et va croiser une (très belle) jeune femme qui va tenter de se suicider. Il va empêcher qu'elle commette l’irréparable, et va se confier sur les...

Robert Bresson fait très surement partie de mes cinéastes fétiches. Assez loin encore d'avoir tout vu, il y'a chez lui pourtant (et surtout dans sa mise en scène) une beauté indiscernable qui m'a...

Bresson tente de saisir l'ambiance hippie du début des 70's à Paris et en devient de plus en plus inaccessible, avec des comédiens au ton faux, des dialogues sans relief. Cette romance sans issue est...

« Quatre nuits d’un rêveur » est la deuxième tentative pour Bresson d’adapter une nouvelle de Dostoïevski à l’écran, ici à partir de la nouvelle « Nuits blanches ». Si la réalisation peine face au...

Dostoïevski a toujours faits des ces personnages plus que des corps mais des idées en mouvement et tout est ressentis dans le film. Le héro du film n'est pas un personnage à proprement parlé mais une...