Et c'est à peu près tout.
Cela fait bien longtemps que Spielberg ne m'a pas proposé de film qui m'émoustille, celui-là ne déroge pas à la règle.
Et de la même façon, ce n'est pas parce que les enfants de l'Amiga et de l'Atari sont aujourd'hui les maîtres du monde que la culture des années 80 était meilleure que celle des '60, '70' ou '90. Il y a simplement un créneau porteur, celui de la nostalgie pour quadra/quinqua, qui est surexploité.
Alors, oui, le film est beau, bien réalisé, on peut certainement le repasser au ralenti dix fois pour identifier toutes les références, ce n'est pas ce qui fait un bon film.