Voilà, je m'en vai... eh ! Je suis scotché au siège ! Je veux quitter ce cinéma, je ne veux pas voir Ondes et Rubber 2 ! Laissez moi... je... ah mince. Ah bah c'est bon, j'ai juste un truc collé aux fesses.(Lars von trier)
C'est bien un chewing-gum, mais peut être dans ma tête ? Et si je compliquais la critique, ça vous plairait ? Réalité. Qu'est ce Axxon ?


Le film commençait très bien, on avait l'apparition des personnages principaux, la gamine, la mascotte d'une émission, le caméraman, et le producteur. Et tout de suite, élément perturbateur, une cassette dans le ventre d'un sanglier ? Cela me rappelle tout de suite l'oreille trouvée par l'agent Cooper, ça donne l'eau à la bouche ! Tout de suite on est appâté, qu'est ce que cette cassette diffuse ?


. Ah l'inévitable argument de merde à la "Je suis un artiste et je vous demande de me comprendre.. Mais qu'est ce que je raconte ! Vous pouvez pas, je vous suis supérieur intellectuellement !" Silencio.
Surtout qu'à aucun moment, la fin du film se repose pour essayer de faire comprendre un tantinet le déroulement des scènes.


Il y avait tellement d'occasion de rendre le scénario bougrement intéressant rien que par les thèmes qu'il aborde, au final, ce n'est pas le fait d'avoir tous les ingrédients que la recette exige qui relève du génie, non, c'est plutôt si on sait les assembler dans le bon ordre, avec les doses prescrites dans un temps limité.


C'est juste une théorie mais j'ai l'impression que les autres films de Dupieux sont plus dans le registre humoristique, c'est pour cela qu'il essaie de faire les deux à la fois, faut dire qu'en plus il a Alain Chabat.


Pire qu'un gâteau à la Enjoy Phoenix, ce gâteau est immangeable.
"Oui mais, c'est une oeuvre de fiction, il ne critique pas vraiment le producteur, c'est une image métaphorique de l'homme qui est bloqué par les liens de la réalité."


Ceci est quand même trop facile pour le réalisateur, il a juste à mélanger tout ce melting pot en mettant les ingrédients au pif, et en répétant des sortes de symboles, plans ou leitmotiv pour rendre le tout logique et susceptible de cacher le sens de la vie.


En plus de ça, pas besoin de partir dans ce genre d'histoire abracadabrante, l'histoire du film Ondes est dix fois meilleure, j'aurai aimé qu'on en parle plus, et ça me gonfle de voir que le rendu de cette histoire reste sur le ton comique


Il a peine ouvert la bouche, qu'on sait qu'il est le méchant producteur. Alors attention, je ne trouve pas que le jeu de Lambert est pitoyable, je le trouve très bon, et même il m'a donné envie de le voir ailleurs. Ce que je critique plutôt, c'est cette envie de donner le mauvais rôle au producteur. De base, sans un producteur, il y aurait pas de film, taper dessus reste assez hypocrite.


Il a fait aussi la musique de Fenêtre secrète, pas un bon échantillon de la crème de la crème des plus grands.


Je veux bien y croire, mais la relation qu'il a avec son réalisateur fétiche, qui mérite des baffes tellement il filme comme un pied, me donne l'impression qu'on prend sa défense sans le vouloir.
(Tous les producteurs en ont ! Comme Hollywood, cette vieille pute racoleuse, comme dirait certains avec poésie)


Désolé, j'oublie la réalité des choses, Total Recall c'est un film et donc une oeuvre de fiction mais des fois, on ne sait pas où on en est quand on filme une mise en abyme. Ah mais attendez, c'est un artiste ! Il y a une mise en abyme ! Non, même Big Fat Liar est une mise en abyme et il est pas adulé pour autant, ce n'est pas un gage de génie. "Un homme se gratte et c'est dans sa tête !"


Débutons tout d'abord, l'argumentaire, avec les personnages, plus particulièrement avec celui du producteur, joué par Jonathan Lambert (Stanley Kubrick).


Brazil et l'armée des douze singes avec leurs fins oniriques, , Donnie Darko (bof), Inception, Identity etc... Au final, pourquoi ne pas faire comme ses films, essayer de raconter une histoire, perdre le spectateur pour le reprendre juste après avec une fin tonitruante


Le coup du cigare par exemple , répété un bon millions de fois, prenez un cigare, non, prenez une cigarette, non, allons dehors, ouais, rentrons, ouais à force d'essayer de rendre le personnage du producteur antipathique en l'énervant pour un rien, ça devient absurde et ce n'est pas drôle car la blague dure sur plus de 10 ans.


Ainsi, le film se termine avec une fin médiocre. Le sort de tous les personnages présentés est inconnu, elle finit sur une phrase débile, sur un plan moche, sur le mec qui sert à rien dans l'histoire, on n'a rien compris, on a même l'impression qu'on a rien compris à cause de notre nous intérieur.


Revenons à nos moutons, le personnage du producteur, même si il est fictif, reste assez soûlant, il y a juste à voir que la scène avec Alain Chabat dans le bureau de Lambert dure trop longtemps. En plus de ça, on peut voir que Dupieux est touché par la maladie Cohen, celle d'essayer de faire rire tout en gardant un sérieux stoïque, ce qui ne marche pas.
La même touche qui se répète pendant trois heures avec aucune autre musique, champion ce Dupieux, il aura pas une longue discographie à présenter ! Le caractère glauque n'est pas très présent et il n'y a pas des discussions sans queue ni tête sur le sens de la réalité.


Le problème des personnages va rejoindre le problème principal du film, la narration. Vouloir créer plusieurs personnages avec plein d'histoires ultra intéressantes comme '"Un homme se balade habillé en femme dans un de ses rêves", en n'oubliant pas de couper le rythme de la vraie histoire, celle sur lequel repose le film ! Un caméraman cherche le cri ultime.
Et c'est ce qu'il a fait pour la moitié du film, si je perdais volontairement le spectateur afin de le perdre dans sa tendre réalité, pari tenu !
Eh si je faisais des scènes de voyeurisme dans tous mes films !
Eh bah bravo, il vient de choper la maladie Lynchienne, celle de vouloir rendre les films étranges à souhait afin de perdre le spectateur. Je suis quand même rassuré que ce soit pas du Lynch à 100 %.


Franchement, pourquoi ? Ce que j'arrive à ressentir ce n'est pas de l'excitation, mais de la frustration ! Pourquoi un ange dans la loge noire ? Que signifie ? Et donc qui a réalisé le film Ondes si c'est pas Alain Chabat ?
le doc dues 10 millions d'abonnés de Norman. bug
Je comprendrai toujours pas, des films assez ambigus, avec des distorsions de la réalité, il y en a eu des tonnes, et la plupart ont bien réussi ! Peut être que le scénario à la base n'a pas vraiment de sens et qu'une grosse flemme s'empare du scénariste. Maybe ! (Tarantino)


Le producteur est en train de produire un film où il apparaît dedans avec un autre futur réalisateur sans qu'il l'a su, et Chabat peut intervenir dans la réalité vraie, tout comme le réalisateur qui apparaît dans son propre film. Est ce dans sa tête, ou bien sommes nous dans une autre dimension ?
Même en le relisant, on voit qu'il y a un problème.
En plus de ça, pas besoin de partir dans ce genre d'histoire abracadabrante, l'histoire du film Ondes est dix fois meilleure, j'aurai aimé qu'on en parle plus, et ça me gonfle de voir que le rendu de cette histoire reste sur le ton comique. (Brian de Palma)


Il y a une scène qui était ultra intéressante, celle du rêve avec les mannequins, déjà c'est l'image qui m'a donné envie de voir le film, et c'est la seule qui mérite beaucoup plus d'attention. Elle aurait pu travailler le personnage d'Alain Chabat, comme elle aurait pu être un leitmotiv bizarre qui avance peu à peu dans l'histoire, dévoilant un élément après l'autre.


La musique du film est un peu pitoyable, attendez, c'est du Philip Glass ? Et ? Il fait pas que des trucs incroyables, c'est pas parce que c'est de la musique minimaliste qu'on a droit forcément à une pépite d'or brut ! "Eh si je filmais un pied pendant trois heures, c'est de l'art !"


Réalité
Un film prometteur de Quentin Dupieux, un réalisateur pour le moins inconnu puisque je n'ai vu aucun de ces films. J'en entendais souvent que du bien de la part de Marius Jouanny, le grand Dupieux, le grand surréaliste, le génie derrière Rubber et Wrong Cops.


Réalité fut le premier. Sérieusement, j'ai la nette impression que ce genre de personnages a été crée pour remplir les quotas des acteurs étrangers puisque tous les personnages principaux sont joués par des français.
Est ce que j'ai vais rester scotché à mon siège, ou bien vais je pouvoir m'en détacher ? Qui sait ?


Eh si je filmais une scène pornographique mais en vrai !
Ah je l'ai trouvé la réponse ! Faites de meilleur films et je me poserai la question.
Pourquoi 5 alors que j'ai presque tout détesté ? J'ai aimé la réalisation, les plans, les acteurs, et je sens que le film avait du potentiel gâché. Quelqu'un connu pour être dans les comédies, je peux comprendre.
Résultat, ils n'ont pas leur place dans l'histoire et n'ont pas de réalité physique, ils sont aussi transparents que des personnages récurrents.


Réalité.
Un film prometteur de Quentin Dupieux, un réalisateur pour le moins inconnu puisque je n'ai vu aucun de ces films. J'en entendais souvent que du bien de la part de Marius Jouanny, le grand Dupieux, le grand surréaliste, le génie derrière Rubber et Wrong Cops.
Réalité fut le premier.
Est ce que j'ai vais rester scotché à mon siège, ou bien vais je pouvoir m'en détacher ? Qui sait ?


Le film commençait très bien, on avait l'apparition des personnages principaux, la gamine, la mascotte d'une émission, le caméraman, et le producteur. Et tout de suite, élément perturbateur, une cassette dans le ventre d'un sanglier ? Cela me rappelle tout de suite l'oreille trouvée par l'agent Cooper, ça donne l'eau à la bouche ! Tout de suite on est appâté, qu'est ce que cette cassette diffuse ? Est ce dans sa tête, ou bien sommes nous dans une autre dimension ?
Il y avait tellement d'occasion de rendre le scénario bougrement intéressant rien que par les thèmes qu'il aborde, au final, ce n'est pas le fait d'avoir tous les ingrédients que la recette exige qui relève du génie, non, c'est plutôt si on sait les assembler dans le bon ordre, avec les doses prescrites dans un temps limité.
Pire qu'un gâteau à la Enjoy Phoenix, ce gâteau est immangeable.


Débutons tout d'abord, l'argumentaire, avec les personnages, plus particulièrement avec celui du producteur, joué par Jonathan Lambert, le doc du bug des 10 millions d'abonnés de Norman.
Il a peine ouvert la bouche, qu'on sait qu'il est le méchant producteur. Alors attention, je ne trouve pas que le jeu de Lambert est pitoyable, je le trouve très bon, et même il m'a donné envie de le voir ailleurs. Ce que je critique plutôt, c'est cette envie de donner le mauvais rôle au producteur. De base, sans un producteur, il y aurait pas de film, taper dessus reste assez hypocrite.
"Oui mais, c'est une oeuvre de fiction, il ne critique pas vraiment le producteur, c'est une image métaphorique de l'homme qui est bloqué par les liens de la réalité."
Je veux bien y croire, mais la relation qu'il a avec son réalisateur fétiche, qui mérite des baffes tellement il filme comme un pied, me donne l'impression qu'on prend sa défense sans le vouloir.
"Eh si je filmais un pied pendant trois heures, c'est de l'art (Tarantino) Eh si je filmais une scène pornographique mais en vrai ! (Lars von trier) Eh si je faisais des scènes de voyeurisme dans tous mes films ! (Brian de Palma). Ah l'inévitable argument de merde à la "Je suis un artiste et je vous demande de me comprendre.. Mais qu'est ce que je raconte ! Vous pouvez pas, je vous suis supérieur !" (Stanley Kubrick).


Désolé, j'oublie la réalité des choses, c'est un film et donc une oeuvre de fiction mais des fois, on ne sait pas où on en est quand on filme une mise en abyme. Ah mais attendez, c'est un artiste ! Il y a une mise en abyme ! Non, même Big Fat Liar est une mise en abyme et il est pas adulé pour autant, ce n'est pas un gage de génie.
Revenons à nos moutons, le personnage du producteur, même si il est fictif, reste assez soûlant, il y a juste à voir que la scène avec Alain Chabat dans le bureau de Lambert dure trop longtemps. En plus de ça, on peut voir que Dupieux est touché par la maladie Cohen, celle d'essayer de faire rire tout en gardant un sérieux stoïque, ce qui ne marche pas. Le coup du cigare par exemple (tous les producteurs en ont ! Comme Hollywood, cette vieille pute racoleuse, comme dirait certains avec poésie), répété un bon millions de fois, prenez un cigare, non, prenez une cigarette, non, allons dehors, ouais, rentrons, ouais à force d'essayer de rendre le personnage du producteur antipathique en l'énervant pour un rien, ça devient absurde et ce n'est pas drôle car la blague dure sur plus de 10 ans. C'est juste une théorie mais j'ai l'impression que les autres films de Dupieux sont plus dans le registre humoristique, c'est pour cela qu'il essaie de faire les deux à la fois, faut dire qu'en plus il a Alain Chabat, quelqu'un connu pour être dans les comédies, je peux comprendre.


Le problème des personnages va rejoindre le problème principal du film, la narration. Vouloir créer plusieurs personnages avec plein d'histoires ultra intéressantes comme "Un homme se gratte et c'est dans sa tête !" '"Un homme se balade habillé en femme dans un de ses rêves", en n'oubliant pas de couper le rythme de la vraie histoire, celle sur lequel repose le film ! Un caméraman cherche le cri ultime.
Sérieusement, j'ai la nette impression que ce genre de personnages a été crée pour remplir les quotas des acteurs étrangers puisque tous les personnages principaux sont joués par des français. Résultat, ils n'ont pas leur place dans l'histoire et n'ont pas de réalité physique, ils sont aussi transparents que des personnages récurrents.
Ceci est quand même trop facile pour le réalisateur, il a juste à mélanger tout ce melting pot en mettant les ingrédients au pif, et en répétant des sortes de symboles, plans ou leitmotiv pour rendre le tout logique et susceptible de cacher le sens de la vie.
Et c'est ce qu'il a fait pour la moitié du film, si je perdais volontairement le spectateur afin de le perdre dans sa tendre réalité, pari tenu !
Eh bah bravo, il vient de choper la maladie Lynchienne, celle de vouloir rendre les films étranges à souhait afin de perdre le spectateur. Je suis quand même rassuré que ce soit pas du Lynch à 100 %, le caractère glauque n'est pas très présent et il n'y a pas des discussions sans queue ni tête sur le sens de la réalité.


Franchement, pourquoi ? Ce que j'arrive à ressentir ce n'est pas de l'excitation, mais de la frustration ! Qu'est ce Axxon ? Pourquoi un ange dans la loge noire ? Que signifie Silencio ? Et donc qui a réalisé le film Ondes si c'est pas Alain Chabat ?
Ah je l'ai trouvé la réponse ! Faites de meilleur films et je me poserai la question.
Je comprendrai toujours pas, des films assez ambigus, avec des distorsions de la réalité, il y en a eu des tonnes, et la plupart ont bien réussi ! Brazil et l'armée des douze singes avec leurs fins oniriques, Total Recall, Donnie Darko (bof), Inception, Identity etc... Au final, pourquoi ne pas faire comme ses films, essayer de raconter une histoire, perdre le spectateur pour le reprendre juste après avec une fin tonitruante. Peut être que le scénario à la base n'a pas vraiment de sens et qu'une grosse flemme s'empare du scénariste. Maybe !
Surtout qu'à aucun moment, la fin du film se repose pour essayer de faire comprendre un tantinet le déroulement des scènes.
Le producteur est en train de produire un film où il apparaît dedans avec un autre futur réalisateur sans qu'il l'a su, et Chabat peut intervenir dans la réalité vraie, tout comme le réalisateur qui apparaît dans son propre film. Même en le relisant, on voit qu'il y a un problème.
En plus de ça, pas besoin de partir dans ce genre d'histoire abracadabrante, l'histoire du film Ondes est dix fois meilleure, j'aurai aimé qu'on en parle plus, et ça me gonfle de voir que le rendu de cette histoire reste sur le ton comique.


Il y a une scène qui était ultra intéressante, celle du rêve avec les mannequins, déjà c'est l'image qui m'a donné envie de voir le film, et c'est la seule qui mérite beaucoup plus d'attention. Elle aurait pu travailler le personnage d'Alain Chabat, comme elle aurait pu être un leitmotiv bizarre qui avance peu à peu dans l'histoire, dévoilant un élément après l'autre.


La musique du film est un peu pitoyable, attendez, c'est du Philip Glass ? Et ? Il fait pas que des trucs incroyables, c'est pas parce que c'est de la musique minimaliste qu'on a droit forcément à une pépite d'or brut ! Il a fait aussi la musique de Fenêtre secrète, pas un bon échantillon de la crème de la crème des plus grands. La même touche qui se répète pendant trois heures avec aucune autre musique, champion ce Dupieux, il aura pas une longue discographie à présenter !


Ainsi, le film se termine avec une fin médiocre. Le sort de tous les personnages présentés est inconnu, elle finit sur une phrase débile, sur un plan moche, sur le mec qui sert à rien dans l'histoire, on n'a rien compris, on a même l'impression qu'on a rien compris à cause de notre nous intérieur.
Pourquoi 5 alors que j'ai presque tout détesté ? J'ai aimé la réalisation, les plans, les acteurs, et je sens que le film avait du potentiel gâché.
Voilà, je m'en vai... eh ! Je suis scotché au siège ! Je veux quitter ce cinéma, je ne veux pas voir Ondes et Rubber 2 ! Laissez moi... je... ah mince. Ah bah c'est bon, j'ai juste un truc collé aux fesses mais à part ça.
C'était un chewing-gum, mais dans ma tête ? Et si je compliquais la critique, ça vous plairait


?

Diegressif
4
Écrit par

Créée

le 12 mars 2018

Critique lue 216 fois

1 j'aime

Diegressif

Écrit par

Critique lue 216 fois

1

D'autres avis sur Réalité

Réalité
Frédéric_Perrinot
9

La symbolique des rêves ( Spoilers )

Il est très difficile de parler d'un film de Quentin Dupieux, comme il est difficile parfois de le regarder et de le comprendre. Dupieux faisant un cinéma du malaise et de l'oppression, si ceux-ci...

le 13 févr. 2015

317 j'aime

8

Réalité
Sergent_Pepper
8

Mise en abysses.

Les prologues de Dupieux avaient jusqu’alors toujours été d’une radicalité assez jubilatoire : discours programmatique comme ode au non-sens (Rubber), tableau surréaliste et mutique (Wrong), ils...

le 23 févr. 2015

272 j'aime

11

Réalité
CinemAd
4

No reason

Il faut que vous sachiez une chose : j'ai un problème avec Quentin Dupieux. D'une, je pense que c'est un gars qui a un melon de la taille d'une montgolfière et je déteste les gens qui prennent de...

le 11 févr. 2015

101 j'aime

20

Du même critique

Celeste
Diegressif
3

Les Sous-Doués Développent un Jeu ?!

Oh ! Chaud devant, étron indé à domicile ! Ou... Si vous ne voulez pas devenir un fantôme de la critique... Veuillez lire celle-ci, rendez-vous page 23 :...

le 14 janv. 2019

13 j'aime

67

La Communauté de l'Anneau
Diegressif
5

Aïe ! Aïe ! gémit Legolas. Un Balrog ! Un Balrog est arrivé !

Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas porter ma critique sur une simple phrase, ce serait injuste. La seule raison pourquoi j'ai pensé à cette phrase pour le titre, c'est parce qu'au cours d'un de...

le 4 juil. 2017

12 j'aime

15

Portrait de la jeune fille en feu
Diegressif
1

Couvrez ce mur que je ne saurais voir.

Couvrons cette critique de mauvaise foi que je ne saurais voir. Halte ! Ceci est un petit message avertissant que cette critique est (il paraît) trop sexiste, homophobe pour être donnée à voir à de...

le 27 sept. 2019

8 j'aime