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Un village italien au bord de la mer, une lumière qui fait plisser les yeux, un petit garçon assis par terre, une poule entre ses jambes, regard amoureux de sa mère, belle à se damner. Un très...
Par
le 2 sept. 2009
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mais dans quel monde vivent-elles ?
Ah que je plains les siciliennes de ce machisme ambiant.
Et que tous ces hommes sont peu aimables !
Et ça démarre très jeune ! Quelle horreur de voir ce gamin d'une dizaine d'années interdire qu'on approche sa grande sœur ou pire encore, sa mère !
Et ce père, grand taiseux qui semble porter sur ses solides épaules tout le poids d'énormes responsabilités ; le fardeau de la vie. Pas gai la vie en Sicile !
Et le fils ainé (12-13 ans ?) prend déjà la relève avec tout le sérieux qui convient. Et c’est lui qui protège sa très jolie maman, de tous les risques auxquels elle s’expose plus ou moins sciemment. Et il la protège notamment du père qui, face à ses sautes d’humeur et à ses extravagances, se résigne à la faire soigner (enfermer ?) comme le réclame son entourage (c'est-à-dire toute la population de l’ile !).
Non décidément, la beauté des images et de ces paysages marins, la joliesse très typée des acteurs principaux, et l’excentricité poétique de la jeune maman magnifique, rien de tout cela n’a suffi à me faire apprécier à sa juste valeur cette œuvre « méditerranéenne ».
Mais j’ai beaucoup de mal avec le machisme, surtout quand il est culturel !
Et que tous ces hommes sont peu aimables !
Et ça démarre très jeune ! Quelle horreur de voir ce gamin d'une dizaine d'années interdire qu'on approche sa grande sœur ou pire encore, sa mère !
Et ce père, grand taiseux qui semble porter sur ses solides épaules tout le poids d'énormes responsabilités ; le fardeau de la vie. Pas gai la vie en Sicile !
Et le fils ainé (12-13 ans ?) prend déjà la relève avec tout le sérieux qui convient. Et c’est lui qui protège sa très jolie maman, de tous les risques auxquels elle s’expose plus ou moins sciemment. Et il la protège notamment du père qui, face à ses sautes d’humeur et à ses extravagances, se résigne à la faire soigner (enfermer ?) comme le réclame son entourage (c'est-à-dire toute la population de l’ile !).
Non décidément, la beauté des images et de ces paysages marins, la joliesse très typée des acteurs principaux, et l’excentricité poétique de la jeune maman magnifique, rien de tout cela n’a suffi à me faire apprécier à sa juste valeur cette œuvre « méditerranéenne ».
Mais j’ai beaucoup de mal avec le machisme, surtout quand il est culturel !
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le 29 déc. 2014
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