SERENITY de Steven Knight avec Matthew McConaughey, Anne Hathaway, Djimon Hounsou et le thon.
De retour de la guerre Dill vétéran traumatisé, retrouve sa promise Karen, mariée avec un autre alcoolique et violent et un polichinelle dans le tiroir, qui s’avère être de son sang. Celle-ci incitera son désormais ex forcé, devenu pécheur fanatique et obsédé par un poisson géant, de l’embarquer pour une partie de pêche et de le perdre au large.
Avec un pantalon, quand il en a un, de type moule paquet et des t-shirts mouillés, voici Matthew McConaughey bien musclé et campé dans son rôle de sex-symbol pour affoler les midinettes et Anne Hathaway, dans une histoire dont l’intrigue farfelue peine à donner du sens et à suivre sereinement ce truc tiré par les cheveux, sensé dénoncer les violences conjugales…mais langoureusement humide jusqu’à la fin, qui fera plouf ou pschitt, selon l’âge du capitaine et le degré d’hygrométrie dont chacun prendra la mesure…