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Que d'ennui...
Brillante Mendoza, c'est ça ? J'avais lu des critiques qui parlaient d'hédonisme, de sensualité, de réalisme. Finalement : des gens vivent et travaillent dans un cinéma qui diffuse des films...
Par
le 11 déc. 2010
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Non,Serbis,ce n'est pas que du sexe.
Arrivé dans l'intimité d'une famille philippine tenant un cinéma érotique,nous assistons comme des voyeurs au quotidien de chacun des membres de cette famille comme si nous en faisions partie.
Les larmes, les rires, les crises de nerfs et les moments de complicité nous apparaissent ,contrastant avec les jouissements pervers des films érotiques des années 70 que diffusent le cinéma soutenue par la famille Pineda.
Sous ses problèmes économiques et personnels , cette famille nous est présenté comme véritablement touchante.
Serbis est filmés de façon à ce qu'on suivent les personnages sans être confrontée a eux, comme une sensation d'espionnage.
La caméra bouge, le brouhaha est constant, une ambiance ambigu s'en dégage ainsi, un certain stress nous oppresse pour le reste du film.
Mendoza ne veut pas simplement choquer l'opinion publique avec ses scènes non censurés de prostitution masculine, il veut dénoncer une réalité social à travers le cinéma devenu un bordel des Pineda.
La famille Pineda n'est qu'autre que le porte parole des philippins utilisé par Mendoza...
Les larmes, les rires, les crises de nerfs et les moments de complicité nous apparaissent ,contrastant avec les jouissements pervers des films érotiques des années 70 que diffusent le cinéma soutenue par la famille Pineda.
Sous ses problèmes économiques et personnels , cette famille nous est présenté comme véritablement touchante.
Serbis est filmés de façon à ce qu'on suivent les personnages sans être confrontée a eux, comme une sensation d'espionnage.
La caméra bouge, le brouhaha est constant, une ambiance ambigu s'en dégage ainsi, un certain stress nous oppresse pour le reste du film.
Mendoza ne veut pas simplement choquer l'opinion publique avec ses scènes non censurés de prostitution masculine, il veut dénoncer une réalité social à travers le cinéma devenu un bordel des Pineda.
La famille Pineda n'est qu'autre que le porte parole des philippins utilisé par Mendoza...
6
Écrit par
Créée
le 29 juin 2013
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