Révélé en 2000 par Harry, un ami qui vous veut du bien, Dominik Moll a depuis réalisé des longs métrages et des séries de qualité variable sans qu’aucune de ces réalisations n’atteignent la qualité de son opus de 2000. Son nouveau film, Seules les bêtes, est indéniablement plus abouti que ses prédécesseurs sans pour autant atteindre la qualité de Harry, un ami qui vous veut du bien à cause, peut-être, d’une durée ramenée aux deux heures « contractuelles ». Le plus grand attrait de Seules les bêtes réside dans sa construction très maîtrisée autour d’une narration dont les segments successifs sont articulés autour d’un personnage central propre à chaque chapitre. Lire la critique complète.