Après la réussite de Christophe Gans, Michael J. Bassett enterre la franchise au cinéma avec un SILENT HILL REVELATION creux et bourré de fautes de goûts. Cherchant à donner des réponses peu crédibles au premier film, le scénario s'enlise tandis que les ridicules effets 3D poussent constamment le film dans des contrées horrifiques baveuses et nanardesques. Dommage, le potentiel était là.
MaximeMichaut
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le 27 août 2013

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