Sam Raimi amorce sa trilogie spider-man, il pose avec ce film les bases de sa version de spider-man. Tout en restant très proche du comics original. Ce n'est pas qu'une vision proposée aux enfants que Raimi offre à voir, mais des personnages complexe taraudés par des démons intérieurs. Le film possède tout de même un coté franchement insupportable, à base de drapeau américain omniprésent sur fond d'ultra nationalisme. Les scènes d'action restent efficaces mais les trucages de spider-man en 3d sont trop visibles et même moches.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films de Sam Raimi et Les parents meurent sous les yeux de leur gamin.
Créée
le 9 oct. 2014
Critique lue 378 fois
D'autres avis sur Spider-Man
Que ça nous plaise ou non, Spider-Man premier du nom à changé la face du cinéma depuis sa sortie en salle. Il est clair que aujourd'hui le cinéma ne serait pas le même sans le film de Raimi. X-Men a...
Par
le 2 mars 2017
56 j'aime
7
J'ai très peu l'habitude d'aller au cinéma chaque année. D'autant que j'ai du mal avec les franchises de cinéma qui s'étirent dans la durée, type Fast and Furious, Star Wars ou Pirates des Caraïbes...
le 7 juil. 2017
37 j'aime
9
La scène débute au bout d'1h45mn et 50s de projection, après que Spider-Man a déposé le cadavre du Bouffon Vert/Norman Osborn chez lui, sous les yeux de son fils Harry. Tout commence par un fondu...
le 25 juil. 2013
37 j'aime
24
Du même critique
En voilà une chose qui en fait du vacarme, ça bouge dans tous les sens mais pourquoi? Pour faire du divertissement, c'est pour cela que Disney a acheté la licence Star wars après tout. La société aux...
Par
le 18 déc. 2019
79 j'aime
44
L'endoctrinement de la jeunesse Allemande est le sujet de ce Jojo Rabbit, qui voit Adolf Hitler comme la seule voie à suivre. Adolf est là constamment pour le petit Jojo, il est son ami imaginaire...
Par
le 28 janv. 2020
66 j'aime
16
Les années 60 à 70 ont été une très bonne période du cinéma, elles étaient inventives et permissives. Pourtant la censure était omniprésente, mais les cinéastes trouvaient tout un tas de stratagèmes...
Par
le 28 nov. 2019
55 j'aime
6
