Spider-Man fait sa crise d'ado

Au premier abord, il faut savoir que je n'apprécie pas du tout l'acteur qui prête ses traits au Spider-man du MCU (Marvel Cinématique Universe), c'est à dire Tom Holland. Ce n'est pas tellement lui en temps que personne à part entière, mais plutôt cet aspect d’adolescent qui n'arrive pas à se détacher d'une condition d'adolescent révolue du haut de ces 19 ans. Ou est-il une autre victime du syndrome de Peter Pan ?

Mais bon comme j'ai vu tous les autres films de la troisième phase du MCU au cinéma. IL fallait bien boucler la boucle. Chose que j'ai faite avec incompréhension puisque peu importe l’œuvre du MCU dans lequel, cette version du Spider-man apparais, il m'agacer au plus au point.
Du coup, avec ces quelques mots qui suivent, je me contredis dans mes propos. Mais bon, faut de tout pour faire un monde. Car oui, à plusieurs reprise « Far from Home » m'as agréablement surpris. Eh non, ce n’est pas uniquement grâce au méchant de cet « épisode » de « Spider-man discovers the world ».

Le film qui fut réalisé pars Jon Watts, qui était aussi présent à la réalisation également de
Homecoming démarre 8 mois après les événements de Avengers : Endgame. Mais porte aussi sur ces épaules, la lourde tâche de tirer le rideau sur cette phase du MCU. Nous y retrouvons donc Peter Parker (Tom Holland) dont le jeu d'acteur montre clairement pas que sont cette identité secrète. C'est-à-dire, Spider-man soit affecter pars la mort de son mentor qui était aussi son père de cœur en la personne de Iron Man/Tony Stark (Robert Downey Jr ). Je souligne cela, car j'espérais secrètement retrouver un homme araignée torturée entre tristesse et colère face à son impuissance. Mais au lieu de cela, nous avons toujours droit aux mêmes bouffonneries et cette éternelle recherche quête d'amour avec MJ ( Zendaya ).
C'est ainsi que pendant 40 minutes environs, nous voyageons avec le jeune Parker à travers l’Europe au cours d'une excursion scolaire avec cette méchante prise de partie pour le teen movie. Car après tout du haut de ces 16 ans, que peu t'on bien raconter d'autre à cette âge ingrat autre qu'une histoire de romance ?! Mais cela ne s’arrête pas là puisque qui dit « teen movi » dit humour à outrance. Bien entendu, dans le MCU, ces chose courante. Mais franchement, ici la barre est placée très haut.

Ensuite, arrive, le point que j'attendais le plus sur l'aspect psychologique du jeune héros. L’ampleur des conséquences qu'on causer la perte de son père de cœur qui n'est autre que Tony Stark. Car étant un très grand fan des âmes tourmenté, je m'étais imaginé un jeune Spider-man qui est forcé de grandir malgré lui. Car en effet, même si son mentor/ père est mort pour le bien de l'univers tout entier. Il est indéniable d'imaginer une très grande tristesse est une remise en question sur ces capacités. A mener cette double vie lycéen/héros tout en protégeant ses proches quitte à éliminer l'ennemie. Chose presque totalement absente au travers de la personnalité de Peter. Puisque ce dernier est omnibuler pars son amour de jeunesse ; sa jeune camarade de classe MJ.Chose qui occupera ces pensées pendant une bonne première heure du métrage qui démontre cette mauvaise version teen movie. Mais cependant, à mon étonnement. Le « fantôme de Tony Stark » qui plane sur la tête de Peter Parker vas le pousser vers la fin du film à mûrir est accepter qu'il soit désormais le « détenteur » du flambeau de Iron Man. Ainsi, malgré le visage bambin de l'acteur. Nous sentons une certaine frêle froideur dans ces traits du personnage. Qui lui montre que malgré « l'époque Thanos » est peut-être terminer. Mais que la mort continuera toujours son heure avant de vouloir chercher son butin. Acte qui peut arriver, pour ainsi dire, d'un simple claquement de doigts. Après, peut-être que j'en attendais trop pour cette évolution de la mentalité de Peter Parker. Mais bon, heureusement pour moi, la grosse surprise qui fut aussi un gros coup de cœur se retrouve dans la personne de Mysterio (Jake Gyllenhaal). Qui n'est autre que le grand méchant de Far From Home.

Car soyons clair, au moment où j'écris cette critique. Mysterio est tout simplement mon méchant du MCU que je préfère. Car apprès tout, non seulement, il se démarque de ces confrères et consœur méchants pars sont absence de "super pouvoir"; mais utiliser sa matière grise pour manipuler autrui afin de les mener où il le veut est très fort. Puis cette recherche de reconnaissance en salissent la mémoir de Starck est une idée que je trouve séduisante. Puis nous autres en temps que spectateur. Arrivons très facilement à s'identifier à lui. Car après tout, qui n'a jamais rêver de devenir un super-héros, mais sans pouvoir ?

Pour conclure, malgré une première grotesque, ou on se demande si le réalisateur se paye notre tête ou non. A cause de se mauvais travers en exagérant sur le thème du "teen movie" revue et revue au travers des séries des années 80. Puis, d'un coup boum changement de ton. Car tout n'était qu'illusion puisque les gentils étaient en faite des méchants avide de succès. Bref, le twist fait bien sont travail. Après même si je considère cette œuvre comme un plaisir coupable. Je suppose que les fans Marvel de la première heure bailleront et serait quelque peu grognon face à un Spider-man se retrouvent en roue libre est ne cherchant pas ou donner de la tete. Puisque entre pitreries, sauvetages de ces proches et recherche du moment propice pour dévoiler sa flamme à l'être aimé. L'homme araignée manque encore de crédibilité. Puis faut bien avouer qu'en dehors des alentours du méchant ; le scénario est bancal.