En soi, sans être excellent, Split reste, au demeurant, sympathique grâce à un pitch assez fun (un schizophrène avec 23 personnalités, on n’en croise pas tous les jours, sauf peut-être dans Legion) et un James McAvoy impeccable. Néanmoins, à force de répétition (combien de fois, on nous explique la particularité de Kévin, le personnage campé par McAvoy…), j’ai fini par m’emmerder un peu. Malgré cela, la dernière scène est vraiment amusante et, au vu de cette dernière, je comprends mieux pourquoi le public américain s’est précipité en masse dans les salles. Bouche à oreille, tout ça.
La critique amusée par la fin : http://marvelll.fr/critique-split/