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Critique de Street Fighter - L'ultime combat par Maïa
Un film qui donne du bonheur, l'équivalent exact d'un kebab visuel.
Par
le 30 juin 2010
35 j'aime
5
Gomez Addams a un chapeau rouge et une cape
Abruti par une journée harassante, le cerveau en bouillie, je me suis dit que c'était le bon moment pour regarder Street Fighter.
Conditions idéales donc, pour apprécier à sa juste valeur ce pur produit des nineties.
Gros muscles, punchlines pourries, décors cheap, tout y est.
Heureusement, le film ne se prend pas trop au sérieux, ce qui atténue son potentiel nanardesque.
(Enfin ça reste bien naze, et plus affligeant que jouissif, ne vous méprenez pas.)
Conditions idéales donc, pour apprécier à sa juste valeur ce pur produit des nineties.
Gros muscles, punchlines pourries, décors cheap, tout y est.
Heureusement, le film ne se prend pas trop au sérieux, ce qui atténue son potentiel nanardesque.
(Enfin ça reste bien naze, et plus affligeant que jouissif, ne vous méprenez pas.)
4
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Créée
le 3 avr. 2014
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