
Tout le jeu d'Emily Browning consiste ici en une éternelle moue boudeuse. Peu de dialogues et un scénario qui a su s'approprier le pire du cinéma :
- Danse 1* : Les fruits illégitimes de l'amour d'un transformer et d'une tortue ninja se déguisent en samouraï pour défoncer la blondicouette.
- Danse 2* : Des nazis ressuscités en veulent au brushing impeccables de nos quatre gravures de magazine
- Danse 3* : Le dragon de Shreck attend de pouvoir cramer du troll dans un château à l'architecture poudlaresque.
-Danse 4* : Les aides ménagers de iRobot attaquent dans un TGV fonçant droit sur Gotham City.
Et puis j'ai pas envie de perdre plus de temps sur ce navet alors expédions : ceux qui pensent que c'est une illustration de la force de l'esprit me font peur.
*Il faut savoir que "danse" ici, signifie "fermer les yeux, tortiller lascivement les épaules".