Pas facile de faire tenir tout un film sur un arbre, c'est pourtant ce que fait Serge Korber. Ce huit clos qui peut être prometteur sur le papier n'a absolument rien de bon. Louis De Funès enfermé dans cette voiture a du mal à exprimer son talent, et ce ne sont pas les gags et les situations qui pourront venir l'aider vu que le film en est totalement dépourvut. Sur un arbre perché est un ratage complet dans le haut de la carrière de De Funès.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films avec Louis de Funès et Les voitures, les motos, les camions...enfin les véhicules qui sautent d'une falaise, d'un pont, d'un immeuble... dans les films.
Créée
le 26 nov. 2014
Critique lue 914 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Sur un arbre perché
Henri Roubier,promoteur avide et sans scrupules,roule à toute allure sur la corniche méditerranéenne,du côté de Cassis,avec à son bord deux personnes qui s'y sont imposées.Il rate un virage et le...
Par
le 28 déc. 2021
12 j'aime
20
Une bonne idée de départ, mais qui a finalement du mal à tenir la route. En effet, pour atteindre la durée d'un long métrage, certaines situations sont inutilement étirées (la première heure, avant...
le 5 déc. 2020
9 j'aime
Juste quelques mini remarques sur ce huis-clos dans un arbre avec quatre personnages quasi qu'assis face à Cassis: ____________Prévu pour Annie Girardot et Yves Montand qui étaient d'accord, Louis de...
Par
le 12 mars 2023
9 j'aime
4
Du même critique
En voilà une chose qui en fait du vacarme, ça bouge dans tous les sens mais pourquoi? Pour faire du divertissement, c'est pour cela que Disney a acheté la licence Star wars après tout. La société aux...
Par
le 18 déc. 2019
79 j'aime
44
L'endoctrinement de la jeunesse Allemande est le sujet de ce Jojo Rabbit, qui voit Adolf Hitler comme la seule voie à suivre. Adolf est là constamment pour le petit Jojo, il est son ami imaginaire...
Par
le 28 janv. 2020
66 j'aime
16
Les années 60 à 70 ont été une très bonne période du cinéma, elles étaient inventives et permissives. Pourtant la censure était omniprésente, mais les cinéastes trouvaient tout un tas de stratagèmes...
Par
le 28 nov. 2019
55 j'aime
6
