Après séance – Vu le 24/08/2020 (J-2)


Le concept est-il plus important que l’expérience ? Je veux dire, à tel point de ne plus se soucier de l’expérience ressentie par l’utilisateur afin de magnifier, de parfaire le concept d’une œuvre.


Imaginez un livre de 1000 pages qui serait un palindrome géant. Un livre qui ferait passer les œuvres lipogrammatiques de Georges Perec pour des blagues de Toto. Les mots n’auraient aucun sens, mais ils pourraient se lire en français de gauche à droite, et en anglais de droite à gauche. Cela en ferait-il un BON livre ?


Évidemment, non.


Imaginez une musique dans laquelle chaque instrument jouerait la valeur d’une inconnue de l’équation de Schrödinger aux différents instants t. Une musique qui ferait passer du mathcore pour de la pop mainstream en 4/4. Elle serait inaudible et disgracieuse, mais elle représenterait musicalement l’évolution d’une particule massive non-relativiste dans le temps. Cela en ferait-il une BONNE musique ?


Évidemment, non.


Parce que le concept d’une œuvre n’en fait pas, à lui seul, sa qualité. Une œuvre est avant tout un moyen de communiquer, de transmettre. Que ce soit un propos, une idée, ou des émotions… Alors certes, un concept fort peut favoriser cette communication, mais il ne peut suffire. Et lorsqu’un auteur est obnubilé par son concept, à tel point qu’il délaisse tout le reste, lorsqu’il se perd dans son délire labyrinthique, même lorsque celui-ci dessert son œuvre, eh bien aujourd’hui ça porte un nom : c’est faire du Tenet !



SUR LE FOND : 3,5 étoiles



TENET est le projet le plus attendu de l’année. Déjà parce qu’il fait partie des plus ambitieux avec son budget atteignant quasiment 250 millions de dollars. Ensuite parce qu’il s’agit du nouveau film de Christopher Nolan, probablement le réalisateur le plus influent de cette dernière décennie. Et enfin parce que la pandémie mondiale a contraint les salles de cinéma à fermer pendant 3 mois et qu’elles ont aujourd’hui besoin d’un bon gros coup de pouce pour faire relancer la machine…


Alors que la plupart des autres sociétés de production/distribution ont choisi de décaler et redécaler leurs films jusqu’à la fin de l’année, voire de complètement sauter la case des salles pour les distribuer directement en (S)VOD, on peut d’ores et déjà saluer le courage de Nolan et de la Warner qui ont pris le risque de sortir un film AAA dans ce contexte. TENET est un émissaire envoyé en première ligne, chargé de rallier derrière lui toute une industrie meurtrie. Et malheureusement, je pense que ce film n’a pas les armes pour mener à bien sa mission.


Aucune œuvre ne fait l’unanimité (non non, aucune), mais TENET va clairement diviser. Il y aura les j’aime/j’aime pas, les j’ai compris/j’ai pas compris, mais le réel débat n’est pas là… Globalement, j’ai saisi le concept d’inversion temporelle. Il est contre-intuitif, il est bordélique, il a ses limites, mais il est surtout complètement dispensable à l’histoire. Et personnellement, lorsqu’un film n’arrive pas en 2h30 à me montrer (parce que le cinéma est un art audioVISUEL tout de même) en quoi son concept est important, intéressant ou juste utile, le film ne remplit pas sa mission.


Alors il y aura toujours les Jean-Michel GROCERVO qui diront que le problème, c’est la stupidité du public, qui crieront au nivellement pas le bas ou qui se rassureront en se disant que TENET est un film qui a besoin de 3 ou 4 visionnages pour être totalement compris et apprécié. Mais dire que le film développe un concept superficiellement compliqué, inutile voire néfaste à son récit, pour en faire un écran de fumée dissimulant ses terribles carences, ce n’est pas un caprice de spectateur qui a besoin d’être pris par la main.


TENET finalement c’est quoi ? C’est un film de braquage et d’espionnage JamesBond-like dans lequel une organisation de gentils va tout faire pour déjouer les plans d’une organisation de méchants. Hoyte van Hoytema est d’ailleurs à la photographie, comme pour Interstellar et Dunkerque, mais surtout après s’être chargé de Spectre, dernier opus 007 au moment où j’écris ces lignes. Après tout, pourquoi pas. Les thématiques de l’espionnage, du voyeurisme et du braquage sont omniprésentes dans la filmographie de Christopher Nolan, de Following à The Dark Knight Rises, en passant évidemment par Le Prestige ou Inception.


L’originalité de TENET réside dans son concept d’inversion temporelle. Le futur a mis au point une technologie permettant d’inverser l’entropie de certains objets ou personnes. L’état de ces sujets ne va donc plus vers l’avenir, mais retourne vers leur passé. Dans un contexte environnemental désastreux, une savante du futur parvient à créer un objet (l’algorithme) permettant d’inverser l’entropie de la planète entière, visiblement pour « rerégler » le climat. Problème : le déclenchement de cet objet aurait également pour effet de mettre fin à toutes formes de vie sur Terre. Grosso modo, c’est comme si pour retirer un trait de stylo sur l’index, vous décidiez de vous couper le bras au niveau de l’épaule… Encore une qui mérite un prix Nobel, le cliché classique du génie qui invente un truc avant de conseiller à tout le monde de ne surtout pas l’utiliser à cause de sa dangerosité (ouais ouais Emmett Brown, c’est toi que je regarde). Mais le futur regorge visiblement de terroristes manchots qui n’ont jamais entendu parler du paradoxe du grand-père, et qui souhaitent se venger des générations passées. Ils missionnent donc un magnat russe et cancéreux pour mettre en œuvre leur plan dans notre présent.



Don’t try to understand it. Feel it.



Bon, à la limite, pourquoi pas ? Peut-être que la hausse des températures a entrainé une baisse des quotients intellectuel. Face à ce plan diabolique, une organisation secrète recrute notre protagoniste (oui oui, c’est son nom mais on va en reparler) afin de mettre la main sur le méchant russkoff et sur l’algorithme, dispersé en neuf fragments par la savante façon Voldemort. TENET retrace les échecs successifs de notre héros dans une énième quête à un McGuffin sans intérêt :


Le protagoniste échoue dans la mission de l’opéra. Il est « tué » et recruté pour TENET : un test que peu réussisse (qui disent), ce n’est pas l’impression qu’on a dans la bataille finale façon Call Of Duty...


Le protagoniste échoue à détruire le faux-tableau de Andrei Sator planqué dans un garde-meuble.


Le protagoniste échoue à conserver la mallette dans laquelle se trouve une partie de l’algorithme.


Et avant lui, l’organisation TENET a échoué à de nombreuses reprises puisque Andrei Sator est déjà en possession des huit autres parties de l’algorithme.


Pas de quoi risquer une luxation du cerveau, alors pourquoi TENET semble si compliqué ? Eh bien la réponse est dans la question, ça SEMBLE compliqué. Tout cela est superficiel, monté de toutes pièces par Christopher Nolan pour écarter le spectateur de ce triste constat : le film ne raconte pas grand-chose, est incohérent, souffre d’une mise en scène froide et d’un cruel manque d’émotion. Pour les incohérences, je ne parle même pas de celles inerrantes aux films de manipulations temporelles. Le problème, ce n’est pas le manque d’explications, c’est que les explications données n’ont pas de sens ou ne sont pas respectées dans la demi-heure suivante :


Pourquoi la savante du futur n’a pas décidé de détruire l’algorithme au lieu de le disperser en neuf morceaux et de se suicider ?


Pourquoi tous ceux qui ont vu l’algorithme sont censés mourir selon Ives ? Pourquoi il décide en fait que chacun en garde une partie ? Et pourquoi finalement le protagoniste se retrouve avec quasiment l’algorithme en entier ?


Pourquoi la mort d’Andrei Sator enclencherait la fin du monde ? Et pourquoi finalement il ne se passe rien lorsqu’il est tué par Kat ?


Et cette sensation d’intrigue compliquée, labyrinthique, incompréhensible (à des fins pompeuses hein, faut le dire) est directement alimentée par le scénariste et réalisateur Christopher Nolan. Lorsque les principes de physique quantique en jeu sont expliqués dans une scène où les deux personnages sont dans un bus blindé de figurants, ce n’est pas anodin. Lorsque l’ambiance sonore recouvre quasi-intégralement les répliques des acteurs à des moments clés du film, ce n’est pas anodin. Même lorsque le personnage principal n’a ni passé, ni futur, ni famille, ni même de prénom, ce n’est pas anodin. Je ne pense pas que ce soit de la fainéantise d’écriture (quoi que, il n’y a pas eu l’aide du frérot Jonathan pour ce scénario). L’identité complexe ou inexistante est une base fondatrice du cinéma de Nolan dès Memento et qui a connu un premier apogée (justifié celui-ci) sur Dunkerque. Mais TENET passe un nouveau cap dans la déshumanisation des personnages, une désincarnation qui empêche tout investissement émotionnel.


John David Washington et Robert Pattinson délivrent des prestations tout à fait convenables, mais leurs personnages ne sont tout simplement pas écrits. Et je ne parle même pas d’Elizabeth Debicki (Kat) chargée d’être la caution émotion du film et qui ne peine à remplir ce rôle, ni de Kenneth Banagh (Andrei Sator) qui cabotine une prestation caricaturale, ou de Michael Caine (Sir Crosby) qui passe juste prendre son chèque pour jouer une énième fois le même personnage chez Nolan… Bref, l’écriture des personnages est tellement vide et déshumanisée, qu’on peut directement passer à la partie FORME.



SUR LA FORME : 6 étoiles



Bon, TENET a au moins le mérite de « proposer des images jamais vues auparavant, un tout nouveau cinéma, de l’inédit »… Ah bon ? Ah parce que vous croyez qu’avoir des images inversées, c’est inédit ? Même le MCU, souvent qualifié de blockbusters numériques sans profondeur, a 4 ans d’avance sur Christopher Nolan. En 2016, dans Doctor Strange, on a exactement le même concept que TENET avec des personnages en interaction avec des éléments inversés. Et dans Doctor Strange, ça a un sens !


Même s’il ne révolutionne pas le cinéma, TENET n’est pas moche. Visuellement, c’est tout à fait correct. Bon, il y a des larges focales et des méga grands angles partout pour montrer la grandeur des décors, et en même temps ça tente d’illustrer l’envergure de la menace. Mais cela nous éloigne surtout des protagonistes, de quoi parfaire, avec une photographie froide au possible, cette sensation de rupture émotionnelle. Stanley Kubrick à-côté, c’est Abdellatif Kechiche ! Dans TENET, tout est bleu, gris, sans vie, hormis UNE scène éclairée de façon intéressante (en rouge, parce qu’il y a du danger et de la tension, c’est malin…). Ça m’étonne un peu du directeur photo Hoyte van Hoytema, parce que dans le récent Ad Astra par exemple, il y avait une démarche radicalement différente en termes d’implication émotionnelle. Bon, ça n’avait pas trop été efficace personnellement mais ça tentait des trucs. Là, même pas. C’est comme si tout tournait autour du concept et que Nolan, persuadé de sa supériorité, avait refusé de développer les autres éléments du film.



Tenet. It’ll open the right doors, some of the wrong ones too. Use it carefully.



Pour son projet le plus ambitieux de sa carrière, un projet qu’il mûrit depuis une vingtaine d’années, un scénario qu’il peaufine depuis plus de sept ans, ça mérite quand même mieux bordel. Je sais bien que tout ça, c’est du storytelling et que le même bullshit avait été raconté pour la promotion d’Inception… Mais quand t’es à ce point sûr de ton coup, il faut que ce soit un coup sûr !


La seule chose qui rend impressionnantes certaines séquences, c’est de connaitre l’aversion de Christopher Nolan pour les effets spéciaux numériques. Du coup, voir la scène du Boeing 747 (spoilée dans la bande annonce) et se dire que le type a réellement fait péter un avion à plusieurs dizaines de millions de dollars, c’est vrai que c’est assez fou. Mais franchement, passé ça, la réalisation ne fait pas du tout honneur à la démarche et la scène en devient presque anecdotique. Plus généralement, les scènes mettant en interaction des éléments normaux avec des éléments inversés (combats ou courte-poursuite) sont bluffantes par l’invisibilité des effets spéciaux. Techniquement, c’est une belle prouesse. Et après ? Est-ce que ça apporte quelque chose au film ? Non.


Ça me rappelle une phrase de Spielberg qui disait à propos de Ready Player One :



Je ne mets jamais un film au service de la technologie, mais toujours la technologie au service du film.



Ça m’avait fait doucement rire à l’époque parce que je trouvais (et je trouve toujours) que RPO ne dépassait pas son statut de prouesse technologique. C’est exactement la même chose avec TENET. A cause d’un concept mal maitrisé, dans lequel Nolan s’est piégé, les effets du film visent uniquement à illustrer tant bien que mal le concept. Et peinant déjà à remplir ce rôle par moment, ils ne peuvent pas en plus délivrer un message, avoir un sens ou transmettre des émotions. Le film est au service de son concept et des effets techniques qui l’illustrent, et pas l’inverse.


Et pourtant, le cinéma de Christopher Nolan, c’est habituellement des films qui ont toujours une lecture multiple, sublimée par une réalisation intelligente. Ses œuvres comportent toujours un message sur le cinéma, son industrie, ses procédés. Son obsession sur le temps allant aujourd’hui jusqu’à proposer de l’inverser est clairement l’expression de sa vision du cinéma, le fait qu’il évite au maximum certaines « avancées » technologiques comme l’utilisation du numérique au profit de la pellicule et d’effets spéciaux physiques. Face aux « avancées » technologiques représentant le temps qui passe, Nolan ne rêve que de reculer.


Plus globalement, quasiment tous ses films parlent de cinéma en sous-texte plus ou moins subtil. Dans Memento, le personnage de Leonard s’écrit une vie. Dans Inception, l’équipe de Cobb passe tout le film à créer des scénarios. Et dans Le Prestige, deux visions du cinéma s’affrontent, et la thématique du frère dans l’ombre colle parfaitement à la famille Nolan. Mais si vous avez écouté le deuxième épisode de Vanishing Point °, vous savez tout ça (et vous êtes quelqu’un de bien).


Malheureusement, TENET ne jouit pas de cette réalisation intelligente. C’est assez plat, sans fulgurances. Du moins, dans les meilleures parties. Parce qu’il y a même des fois où la réal gâche complètement l’expérience du spectateur.


On peut parler du mixage sonore par exemple, qui est complètement claqué. En soi, l’OST ne m’a pas particulièrement déplu. C’est Ludwig Göransson qui s’en charge, tonton Zimmer étant en train de plancher sur Dune de Denis Villeneuve (futur 10 étoiles, vous l’aurez lu en premier ici). Bon, on n’est pas perdu pour autant, on a toujours les vrombissements hyper bas, les sons percutants… Une BO zimmerienne plutôt bien gérée lors de la scène d’ouverture par exemple où l’ambiance sonore désagréable et oppressante renforce la tension de la séquence. Mais après, pendant tout le film, c’est mixé avec les fesses ! Ils arrivent à mettre une grosse musique de suspens complètement hors sujet dans une scène où deux personnages discutent tranquillement en buvant leur thé… On ne comprend même plus ce qu’il raconte (peut-être le but…). C’est n’importe quoi, on se serait cru dans la scène où le Commissaire Bialès justifie la présence du costume du tueur dans son placard…


Alors est-ce qu’il y a une réelle démarche de mettre mal à l’aise le spectateur, ou est-ce que les potards ont été mis sur 11 à la post-prod pour essayer de palier en catastrophe le cruel manque d’émotion ? Quoi qu’il en soit, ces moments, plutôt concentrés sur la première heure du film, laisseront de côté un bon nombre de spectateurs. Et on ne peut pas leur en vouloir. TENET est volontairement et superficiellement difficile. En plus de ça, le rythme de la première heure est hyper laborieux. Le protagoniste va voir Laura, la scientifique archiviste, glane deux trois informations, rencontre ensuite Neil, puis Priya mais se barre direct, ensuite il harcèle Kat pour pouvoir rencontrer Andrei Sator… Wooh doucement ! Et encore, dans une scène, lorsqu’il y a une réplique à donner, Nolan s’arrange pour que ce soit haché dans trois séquences différentes, sur trois décors distincts. Mais pourquoi ?


Bref, c’est vraiment dommage. A la fois pour la filmographie de Christopher Nolan, et pour l’industrie du cinéma parce qu’il y a de grandes chances que le film déçoive. Espérons au moins que TENET soit l’étau temporel de la carrière de Nolan, inversant les tendances… Qu’après The Dark Knight Rises (un film moyen que j’ai subjectivement aimé), Interstellar (un film que je vais réévaluer grâce à TENET) et Dunkerque, il revienne à des propositions à la fois fortes, intelligentes et divertissantes telles qu’Inception, The Dark Knight ou Memento.


Bonus acteur : NON


Malus acteur : NON



NOTE TOTALE : 5 étoiles



° Vanishing Point est un podcast pensé comme un road-trip à travers les routes imaginaires du cinéma dans lequel on aborde, avec deux autres cinéphiles aguerris, trois films par épisode liés par une thématique fallacieuse.


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le 28 août 2020

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