Paradoxe de ce film: on ne comprend pas grand chose du scénario, et pourtant on reste scotché pendant les plus de deux heures du spectacle. C'est bien un grand spectacle qui nous est présenté, avec tout, de l'action, des paysages, des acteurs extraordinaires, de la violence, des émotions.
C'est vraiment du cinéma, le blockbuster qu'on attendait depuis le déconfinement.
- En gros le scénario: le protagoniste doit sauver le monde d'une catastrophe, il doit se débrouiller au milieu d'ennemis implacables, d'armes à entropie inversée, et il va y arriver don't worry.
- les décors: beaux costumes, belles voitures, hôtels splendides, camions énormes
- les acteurs: John David Washington est le protagoniste, superbement séduisant, très fort et pourtant capable d'humour. Ses costumes restent impeccables malgré des bagarres intenses. Elisabeth Debicki est éblouissante, sa haute taille en fait une quasi divinité céleste. Elle est toujours droite, droite physiquement et dans sa conduite ! Les autres acteurs sont pas mal non plus, Kenneth Branagh fait un méchant puissant et redoutable.
Et alors , la critique? Hé bien c'est du cinéma, on est dans le monde des happy few, dans le monde où on rêve tous d'aller ( vous, moi..) un monde où on ne s'ennuie pas, où l''argent coule à flot, où tout les objets sont superbes, les femmes élégantes, les hommes des gentleman ( même les pires crapules..). Du cinéma, quoi.