Terminator 3 - Le soulèvement des machines par Giamilla
Que dire ?
Les premières minutes du film ne m'ont laissée de glace. Chouette, unE Terminator, on tente de faire un film dans l'air du temps en vous refilant une blondasse qui peut grossir à volonté ses nichons.
Et qui doit lécher le sang de façon sensuelle pour en identifier le propriétaire. (imaginez Schwarzie faire la même chose, ce serait sans doute moins vendeur)
Mais bon, quand on s'est enfilé les trois premiers Terminator à la suite, force est de reconnaître que visuellement, c'est une belle claque. On voit que la prod' avait enfin les moyens techniques qui manquaient cruellement lors des deux premiers opus pour faire des machines réalistes.
On retrouve les habituelles scènes de course-poursuite, superbement bien tournées. Ça bouge bien, tout explose de partout, c'est la grande classe.
Et j'ai beau avoir de la peine avec certains paradoxes temporels de ces films, il faut avouer que la fin, sombre, m'a donné envie de me jeter sur le film suivant.
Je suis un peu maso, j'aime bien quand ça finit mal. Qu'on vous fait comprendre que c'est une guerre perdue d'avance, à la limite de l'impossible à gagner.
On veut savoir comment les protagonistes vont bien pouvoir finir par triompher. Si tant est qu'ils y arrivent.