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L'Ange Noir
Reprenant là où Begins s'arrêtait, The Dark Knight nous replonge dans un Gotham avide, rongé de l'intérieur, toujours en proie à la criminalité et la corruption malgré les événements passés, mais...
le 1 nov. 2014
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Nolan confirme sans surpasser les promesse de Batman Begins
Après l'excellent Batman Begins, Nolan joue la surenchère à tous les points de vue avec ce nouvel opus.
Deux fois plus noir, avec deux fois plus de méchants, et deux fois plus d'action ce nouvel épisode donne surtout la fausse impression d'être deux fois plus long, et deux fois plus fatiguant.
Bien sûr le film ne démérite pas, mais il confirme surtout ce qu'on avait compris avec son prédécesseur qui reste malgré tout deux fois plus surprenant, deux fois plus original et deux fois plus marquant :la promesse d'une vie après Burton, qui ne verse pas dans le pastiche...
Un bon batman en somme, mais qui méritait deux fois moins d'attirer l'attention que Begins, finalement et qui a surement profité de l'attirance morbide des spectateurs autant que du buzz funèbre de la presse autours du décès de Heat Ledger. Précisons à ce sujet que ce Batman là ne saurait être considéré comme la dernière œuvre posthume de l'acteur, puisque c'est le très malchanceux Terry Gilliam, surtout, qui aura la "chance" d'avoir à repenser totalement son Imaginarium du docteur Parnassus sans son acteur principal...
Deux fois plus noir, avec deux fois plus de méchants, et deux fois plus d'action ce nouvel épisode donne surtout la fausse impression d'être deux fois plus long, et deux fois plus fatiguant.
Bien sûr le film ne démérite pas, mais il confirme surtout ce qu'on avait compris avec son prédécesseur qui reste malgré tout deux fois plus surprenant, deux fois plus original et deux fois plus marquant :la promesse d'une vie après Burton, qui ne verse pas dans le pastiche...
Un bon batman en somme, mais qui méritait deux fois moins d'attirer l'attention que Begins, finalement et qui a surement profité de l'attirance morbide des spectateurs autant que du buzz funèbre de la presse autours du décès de Heat Ledger. Précisons à ce sujet que ce Batman là ne saurait être considéré comme la dernière œuvre posthume de l'acteur, puisque c'est le très malchanceux Terry Gilliam, surtout, qui aura la "chance" d'avoir à repenser totalement son Imaginarium du docteur Parnassus sans son acteur principal...
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le 28 sept. 2010
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