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Flutte
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L’ouverture du film située quelque part dans les sommets himalayens est assez intrigante, car elle n’est pas sans rappeler une certaine figure hergéenne de terreur enfantine (Rascar Capac) ou gigerienne (Alien).
Très vite, hélas, on retombe sur nos pieds dans un thriller d’épouvante de facture beaucoup plus classique et fort peu novateur pour l’amateur du genre (ni sur le fond, ni sur la forme). Le scénario qui multiplie et brouille les pistes n’est pourtant pas dénué d’intérêt, mais il eut fallut pour interpréter le personnage central quelqu’un d’autre que James Badge Dale, totalement ahuri et inconsistant les trois quarts du temps, qui nuit gravement à l’ensemble.
On l’aura compris, sur la longueur, The Empty Man n’empêche pas totalement de dormir, et agit un peu comme le marchand de sable... d’abord on l’entend, ensuite on le voit, et après, on s’endort pour de bon !
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le 21 janv. 2021
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