The Great Ecstasy of Robert Carmichael par klauskinski

Thomas Clay filme en plans quasi-fixes le basculement dans l'ultra-violence de 3 jeunes anglais. Le message véhiculé par le film me semble ambigu (l'idée d'une sorte de déterminisme social de la violence) mais la mise en scène clinique est impressionnante. Naissance d'un grand réalisateur?
klauskinski
7
Écrit par

Créée

le 11 déc. 2011

Critique lue 370 fois

2 j'aime

klauskinski

Écrit par

Critique lue 370 fois

2

D'autres avis sur The Great Ecstasy of Robert Carmichael

The Great Ecstasy of Robert Carmichael
AnaisD
3

Une expérience à vivre (ou pas)

Que dire sur ce film qui traumatise encore la personne qui a eu l'honneur de le voir avec moi au cinéma il y a quelques temps déjà. En gros c'est l'histoire d'ados qui partent (énormément) en vrille...

le 2 janv. 2011

5 j'aime

The Great Ecstasy of Robert Carmichael
Velvetman
7

The Great Ecstasy of Robert Carmichael

Robert est un adolescent qui vit seul chez sa mère sans que l’on sache ce qu’est devenu le père. Il joue brillamment du violoncelle, est brillant à l’école mais semble malmené par ses camarades de...

le 26 avr. 2014

4 j'aime

The Great Ecstasy of Robert Carmichael
3615alexis
1

Absolument déféquable

Ce film est une vraie bouse. L'idée de suivre une jeunesse perdue et déboussolée aurait pu être intéressante, mais c'est extrêmement mal fait, à coups de plans séquences interminables et de dialogues...

le 17 nov. 2013

3 j'aime

Du même critique

L'Avventura
klauskinski
9

Critique de L'Avventura par klauskinski

Au début de L'avventura, on suit un groupe de bourgeois en croisière dans les îles éoliennes. La disparition sur une des îles de celle qui constituait jusqu'ici le personnage principal du film, Anna,...

le 1 août 2011

42 j'aime

Révélations
klauskinski
8

Critique de Révélations par klauskinski

Mann s'empare avec Révélations d'un problème de santé publique qui aurait pu donner un lourdaud film à thèse. Pourtant, tout en réalisant une oeuvre résolument militante, le réalisateur parvient avec...

le 28 déc. 2010

19 j'aime

1

Innocents
klauskinski
7

Critique de Innocents par klauskinski

En laissant à distance la matière pourtant fertile que constitue la révolte étudiante de 68 pour se focaliser sur un trio amoureux en huis-clos (Green, Garrel et Pitt magnifiques) Bertolucci signe...

le 1 mars 2011

15 j'aime