Tout est politique, y compris le cinéma. Une branlette intellectuelle de ce genre-là, à base de féminicides, est juste nul. Les plans s'enchaînant lancinants et paresseux, le jeu d'acteur de Matt Dillon ne rattrape pas Anthony Hopkins dans Hannibal. Lars Von Trier se croit contre la tendance générale en présentant des meurtes et choquer, mais ça ne dépasse pas un journal du 20h avec les futurs morts au Rojava ou autres. Journal qu'on peut donc voir chaque soir.
À moins que vous fassiez partie du jury du festival de Cannes ou soyez un académicien du cinéma, ce film vous concerne. Le reste vous pouvez passer votre chemin.

Levantorp
3
Écrit par

Créée

le 7 oct. 2019

Critique lue 148 fois

Levantorp

Écrit par

Critique lue 148 fois

D'autres avis sur The House That Jack Built

The House That Jack Built
Velvetman
9

Antichrist

Alors que la polémique gonflait depuis quelques heures sur la prétendue violence de son film, alimentée par les nombreux claquements de porte lors de la projection officielle au Festival de Cannes...

le 16 oct. 2018

188 j'aime

4

The House That Jack Built
Moizi
9

La fascination morbide

Difficile pour moi de dire du mal de The House That Jack Built tant le film m'a emballé du début à la fin. On y retrouve le Lars Van Trier que j'aime, celui qui n'hésite pas à choquer, qui n'hésite...

le 31 oct. 2018

94 j'aime

4

The House That Jack Built
guyness
4

La petite maison dans l'après rite

Les tics de langages propres à chaque cinéastes, ne peuvent pas (jusque dans une certaine mesure) leur être reprochés. C'est bien la moindre des choses que les plus marquants d'entre eux aient pu, au...

le 3 mars 2019

81 j'aime

6