The Lodgers
4.6
The Lodgers

Film de Brian O'Malley (2018)

Malgré une esthétique léchée et une actrice à la beauté froide envoûtante, 'The Lodgers' nous laisse sur le pas de la porte et ne fait qu’effleurer son sujet. Dommage Gerardmer 2018

Créée

le 5 févr. 2018

Critique lue 1.2K fois

2 j'aime

Antoine Verrier

Écrit par

Critique lue 1.2K fois

2

D'autres avis sur The Lodgers

The Lodgers
N-Die
5

#DécrisMalUnFilm

[ATTENTION SPOILER^^] Ok ... donc c’est l’histoire d’une soeur et d'un frère jumeaux, qui ont été engendrés par une soeur et un frère jumeaux, eux même été engendrés par une soeur et un frère...

le 29 janv. 2019

4 j'aime

The Lodgers
Lakahand
7

Gothique à l’irlandaise

The Lodgers se place dans la lignée feutrée de classiques comme Les Innocents, Les Autres, Crimson Peak et de l’œuvre de Mario Bava. Les amateurs de jump scares peuvent passer leur chemin, même si la...

le 18 oct. 2018

3 j'aime

The Lodgers
serge_la
7

Original

Voilà quelque chose de rare dans les films de maison hantées/fantôme/horreur: une histoire presque complètement originale. Une sorte de diabolique folie en jeu. Fin imprévisible.

le 17 mars 2019

2 j'aime

Du même critique

It Follows
AntoineVerrier
9

Critique de It Follows par Antoine Verrier

"Prenant, angoissant, magnifiquement inventif, ultra flippant, sublime", it follows c'est effectivement un peu tout cela en même temps... et bien plus encore. Dès l'introduction passée, je savais...

le 28 avr. 2015

9 j'aime

1

Hold-Up
AntoineVerrier
3

L'avis en BREF...

Donc l'institut Pasteur, Bill Gates, Jacques Attali, Jack Dorsey et Macron développent en secret depuis 10 ans un super virus mortel (qui en réalité ne tue personne mais donne de l'acné) afin de...

le 17 nov. 2020

6 j'aime

4

Piranhas
AntoineVerrier
8

L’avis en BREF (#Beaune2019)

La jeunesse napolitaine en perdition pour le film d’ouverture de Beaune 2019, Piranhas. La poésie, la douceur et l’extrême violence s’entremêlent dans ce petit Scarface italien. Effrayant et touchant.

le 12 déc. 2023

6 j'aime