5
Poison Girl
Bon allez, pas d’introduction bien tournée pour cette fois, pour éviter toute confusion et parce qu’on colle des procès d’intention au film pas tout à fait pertinents, je vais commencer par quelques...
Par
le 8 juin 2016
196 j'aime
45
Les néons déconnent
Très beau mais très chiant. La photographie et la mise en scène de The Neon Demon est parfaite, peut-être un peu trop même. C'est très studieux, trop. C'est clairement un film que l'on apprécie plus pour sa forme que pour son fond. L'histoire est simpliste : une jeune femme à la beauté angélique jalousée par ses concurrentes qui sont usées par la drogue et le show-biz. Le film dénonce tout ce milieu impudique de la mode où les rivalités sont omniprésentes et où le corps est exhibé impunément aux photographes parfois vicieux. La femme devient littéralement objet. Objet de désir malsain et ça en devient écoeurant, surtout vers la fin du film qui est trop osée à mon goût.
On déambule dans ce film sans savoir réellement les motivations de l'héroïne. Elle est excessivement indécise et provoque de l'ennui et de la lassitude. La musique qui est très bonne au passage ne fait pas décoller l'intrigue.
La conclusion de The Neon Demon est libre d'interprétation pour le spectateur. Voilà un bon point. Personnellement j'en ressors avec des incompréhensions et surtout une petite déception.
6
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Films vus en 2016
Créée
le 11 juil. 2016
Critique lue 273 fois
D'autres avis sur The Neon Demon
5
Beauty is Everything.
Le temps d'un plan, j'y ai cru, au point d'en avoir une demie molle. Le temps d'un opening theme fracassant, me renvoyant au temps béni de Blade Runner, et dont les basses me parcourent l'échine avec...
Par
le 20 juin 2016
194 j'aime
6
8
Splendeur et décadence.
La plastique, c’est hypnotique. La bande annonce, le clip, la publicité : autant de formes audiovisuelles à la densité plastique extrême qu’on louera pour leur forme en méprisant le plus souvent...
le 13 juin 2016
149 j'aime
19
Du même critique
6
Les frères errent
La dernière fois qu'un réalisateur français s'était attaqué au western c'était Jan Kounen avec "Blueberry" en 2004. Les critiques avaient été assez mitigés. Personnellement pour moi ce fut une...
le 20 sept. 2018
7 j'aime
8
Sacrés paroles
Voilà le discours d'un homme, simple, généreux, altruiste qui donne sa propre vision du monde, de comment il le vit, il se sent. il tient un discours clair et lucide, à la portée de tous, même des...
le 15 sept. 2018
6 j'aime
1
8
Pauvre courge
On se dit encore un film d'animation destiné aux enfants. C'est un peu le contraire. Ma vie de courgette pourrait être plus destiné aux adultes de par la profondeur de son sujet. Courgette, le héros...
le 8 oct. 2017
6 j'aime
