Poison Girl
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Widing Refn réalise surement son film le plus justifié dans ses ère glauque et maladif. Contrairement à Only God Forgive, on est satisfait d’assister à une mise en scène moins frénétique et un brin moins lourde. Ce qui permet d’éviter, en partie, de se voiler la face en se disant que l’on regarde un chef d’œuvre, alors qu’il y a sans aucun doute un problème. Le film n’évite cependant pas quelques parenthèses dans le but de choquer ou de dégoûter et de tomber dans une certaine caricature métaphorique pas forcement immersive. Malgré tout on remarquera d’autre facettes plus pertinente que celle de l’expérimentaliste :
Le visuel est une curiosité, des couleurs très audacieuses et une mise en scène qui dépasse l’intérêt d’une simple esthétique étonnante. Celle-ci parvient à marquer, à offrir une vision d’un monde irrationnel avec des instants de grâce artificiel et métaphysique, ainsi qu’a déranger d’une façon très particulière.
Ce grand atout de N.W.R fait passer la pilule ,parfois un peu grosse, tout au long de son film, même dans les scènes les plus vides, elles deviendront donc juste tape a l’œil quelques secondes.
Un film qui a tendance à se chercher un peu trop, mais qui ne reste pas non plus anodin et gratuit, on doit une grande partie de l’intérêt a Elle Fanning, tout aussi curieuse que ces images sorties d’une autre dimension.
Créée
le 13 juin 2016
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