Jennifer Kent signe un film violent, voir meme limite regardable pour certains au debut. Mais une violence qui se diffuse dans un contexte de racisme et sexisme dans une Australie en guerre.
Un film de revanche plus psychologique qu'axé sur la violence. Les scènes de cauchemars , rêves sont réussies, et illustrent assez bien la psyché de cette veuve en quête de justice. quant aux scènes de combats : expéditives et dotées d'une trop grande sobriété pour etre jouissives.
Avec une mise en scène très discrète et réalisme, the nightingale est un film véritablement sombre et froid. Tant sur le fond que la forme.
babadook est une oeuvre plus accomplie est à la mise en scène plus inventive de cette réalisatrice.