Bon déjà je n'ai pas vraiment le temps de rédiger des critiques, mon boulot et mon gosse ne me laisse pas une minute, sans parler de ma sœur cette cassos-anorexique, mais là, non mais qu’est-ce que c'est que ce film sans déconner.
Ayant moi-même un faible pour les meurtres en quantité, ouai serial killer allez-y avec les étiquettes si ça vous fait plaisir ! Je pense être assez bien placé pour savoir de quoi je parle. Donc "The Voices" c'est l'histoire d'un mec, la trentaine, blanc et qui donc entend des voix...SANS DÉCONNER !
Donc un serial killer c'est forcément un mec blanc, asocial, qui parle avec ces animaux, un maboule quoi ! Mais les gars réveillez-vous oh, on est en 2015. NEWS FLASH : on peut être un serial killer et mener une vie de famille tout à fait normale, moi je dépose mon gamin tous les matins à l'école, puis je file au taff ( je suis flic LOL) ça m’empêche pas d'aller découper des mecs la nuit tombée, c'est juste une question d'organisation mais voila quoi arrêtez les clichés de merde sur les serials killers.
Et puis Ryan Reynolds les gars quoi, un psychopathe c'est quand même un mec attachant (ou tachant tout cour ahah) , soit on aime le détester soit on déteste l'aimer, là le Ryan ne provoque que l’indifférence.
Heureusement que tout n'est pas à jeter, je dois avouer que voir la craquante Anna Kendrick aux prises avec un amateur d'homicides du types volontaires est une perspective réjouissante, mais alors faut pas être pressé
3 cadavres pour un serial killer de 30 piges voila le score en bois !
Ah et je vous épargne le générique de fin façon comédie musicale WHAT THE FUCKING FUCK comme on dit à Miami.
Bon je suis directement concerné par le sujet alors je m'énerve peut-être un peu mais si mon pote le Dr Lecter voit ce film vous allez déguster façon fèves aux beurres et chianti (vous l'avez !?) sur ceux je retourne bosser, en plus faut que je ramène des donuts à ce pervers de Masuka.