Le mythe des vampires revisité par le cinéma coréen. Même si l'originalité du traitement est indéniable et parfois assez innovante, l'ensemble m'a paru assez bancale. Ici, nous sommes à mille lieux des vampires édulcorés de Twilight. Tant mieux car la bit lit me tape un peu sur le système. Dans Thirst, le héros essaie de conjuguer au mieux sa religion et son état. Il y arrivera presque jusqu'à la rencontre avec une jeune femme qui l'emmènera sur des chemins épineux et mortels. C'est justement cela qui fait tout l'intérêt du film. Malheureusement je n'ai pas trop apprécié la réalisation. Quelques temps morts et un flot d'hémoglobine inutile m'ont un peu gâché le plaisir. A voir quand même parce que le cinéma coréen n'est décidément pas comme les autres.
Kabuto
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le 13 déc. 2011

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Kabuto

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