L.A ,haaa L.A , New York est rarement propre dans ses films..quoi que jamais, sauf quand il est question de suivre la vie d'une saloperie de bourge qui ne fait que baisé ou se prendre des murges ou devenir le rois du monde ou tombe amoureux d'une connasse banal ...BREF, L.A c'est un peu la même dans beaucoup de film, mais ici, le réalisateur s'approprie l'âme de cette ville, et en fin ce qu'il à envie d'en faire, ici nous embarquons dans un train fantôme , ou de la jungle, avec un terminus incroyable et des passages de grands huit qu'on ne voit pas arriver .
qui croire, de quel côté se ranger, qui est vraiment le bon et la brute , lors qu'on veut comprendre le but du " méchant" du film, et bien on peut le comprendre, mais selon NOTRE limite, à nous de savoir à quel moment il devient le bad guy, ou si il le devient vraiment .
les lumières utilisé pour l'image sont bien particulière et son bien ici pour donner, une personnalité, la ville est un personnage, et les personnages sont aussi, simplement une facette de cette ville ...
nous avons ici un film ayant une saveur particulière , bien que parfois je trouve la prestation de Denzel un chouilla grossière par moment, voir cliché, simplement parce qu'il surjoue certains passage mais certains seulement car le reste du temps je le trouve brillant , idem pour Ethan qui nous fait ici un rookie aux grand rêves et qui finalement embarque pour une virée qui le réveillera dans la triste vérité que le monde réel est simplement son cauchemar , enfin, simplement la réalité qu'il va partagé avec son partenaire de route .