Valentine, étudiante et mannequin (Mme Irène Jacob), manque écraser de peu une chienne. Souhaitant la rendre à son propriétaire, elle découvre un magistrat misanthrope épiant son entourage par des écoutes téléphoniques sauvages (M. Jean-Louis Trintignant). Ouverte et bienveillante, elle pressent bien que cet homme mûr est attiré par le mystère des autres et décide de le tirer de son cynisme pour en découvrir davantage la beauté. La méfiance du début estompée, ils finissent par se lier d’amitié.
Ce troisième volet en vient au rouge supposément attaché à la solidarité. Pudique, métaphysique, cette étude s’avère la plus poétique des trois, la plus accessible également, et permet de reprendre espoir en l’humanité. Dans la scène finale, les personnages des trois films finissent par se croiser par hasard.