Comme une impression de passé, retour en arrière, au temps où vouloir être anthropologue attisait le désir du beau monde. Ce temps ou la philosophie était la finance d'aujourd'hui. Inversion des valeurs pendant deux heures de film où l'on ne voudrait qu'une chose: mettre une veste en velour et rouler sa cigarette avant de partir en solex.
Créée
le 12 nov. 2015
Critique lue 191 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Trois souvenirs de ma jeunesse
L’amour est un vieux serpent de mer. Le temps passe, l’identité se dilate, les souvenirs s’égarent et s’éparpillent entre la routine inhérente d’un Roubaix lassant et le romanesque idéalisé d’une vie...
Par
le 13 oct. 2015
76 j'aime
4
Lors de la première vision du film, et comme devant tous les Desplechin, j'en suis ressorti ému, très heureux. C'est l'effet que me font ses films : leur complexité, leur densité, leur énergie aussi,...
Par
le 22 mai 2015
30 j'aime
11
OMG que ce film est détestable. Que ce soit les choix de réalisation (l'effet rétro de l'annonce des parties, les "split screens" et les effets "scope", la troisième partie qui occupe à elle seule...
Par
le 28 mai 2015
26 j'aime
7
Du même critique
Il était 13heures quand j'ai décidé d'aller au cinéma, il pleuvait. J'ai cherché quelque chose de familial, pas loin de chez moi, pas forcément beaucoup de choix, je suis allé voir ce film non pas...
Par
le 1 nov. 2016
3 j'aime
Sixto Rodriguez - ça sonne moins bien que Bob Dylan, le talent, lui est égal voire plus grand. Tout dépend, après-tout, c'est subjectif. Le reportage-film-documentaire, appelons-le comme on veut est...
Par
le 12 nov. 2015
3 j'aime
2
Jep Gambardella - la réussite de Mastroianni, la ville de Francesco Totti - Comprenez que Jep est la représentation de ce qu'il y'a de plus grand dans le modèle de réussite sociale. Ce modèle dans...
Par
le 12 nov. 2015
3 j'aime
1
