Des trois souvenirs, seul celui d'Esther reste en écrasant les deux autres en prenant plus des trois quarts du film. On passe donc rapidement d'une histoire d'usurpation d'identité totalement décousue à une histoire d'amour d'adolescents. Et quand bien même le jeune couple arrive à nous charmer, leur histoire tourmentée finit par lasser.
C'est dommage, car c'est assez bien distribué et l'on retrouve l'acteur fétiche de Desplechin, Mathieu Amalric. Mais comme trop souvent, ses réalisations manquent de pep's.
Bref, je n’ai pas compris.