Twilight, monde imaginaire façonné dans un délire fantastico chrétien par une mormone qui sait utilisé à merveille les pseudos codes religieux et les fantasmes du prince charmant diffusés depuis le plus jeune age par la quantité astronomique de contes gaubés par ses jeunes filles en fleurs
Mais outre l'univers miellleux pour amatrice de Lol cats sur Youtube, une question se pose ? mais qu'est ce que c'est que cette merde ?
Ce "film" a tout des codes du soap opera, ça brasse de l'air encore plus que dans un meeting politique pour dire quoi au final ? rien, l'histoire n'avance pas, sentant un genre de remplissage à la paille venant du taxidermiste du coin, a croire qu'on gardait le reste pour les suites, vu le succès commercial acquis, si on donne à manger aux pigeons autant pas les gaver de suite
Pour le reste, les acteurs sont d'un sex appeal proche de la Soupe aux choux au format MTV, les effets spéciaux digne d'un blockbuster indien, la musique est tellement utilisée comme cache misère pour donner un semblant d'intêrêt à un néant artistique totale, des dialogues à rallonge épuisant me faisant presque plaisir de rendre riche l'industrie pharmaceutique pour toute l'aspirine vendue à tout ceux qui ont souffert devant cela, sans parler de l'ambiance gothique et super pallo de l'ambiance qui te fait passer un vendeur de pompe funèbre pour Gad Elmaleh
Cependant cette série de film est surement un des facteurs d'une vision conservatiste des choses de l'amour fantasmé parmi les gens les plus intégristes, ayant contribué ces dernières années à un retour moyenageux de certaines choses qu'on pensait acquises, on parle de virginité, d'amour absolu jusqu'a la mort, de mariage, et plus surprenant d'amour multiple, mais le pire c'est cette obsession d'être transformé d'une jeune fille banale perdu dans les bois, promise à la vie éternelle en étant différente, sortir du lot, un genre de radicalisation involontaire mais qui philosophiquement pose des questions, poussant des esprits vides à avoir des envies d'aller faire un tour à Damas, limite exagéré mais le cheminement n'est pas si loin
Dérangeant pour le fond, effrayant pour la forme