
La romance fantastique, qui se voudrait shakespearienne, continue pour son dernier chapitre. Sans surprise, elle n'a toujours rien de l'intensité et de la maîtrise de ses références. Si il est tout bonnement hallucinant qu'une telle production en 2012 puisse avoir des effets spéciaux aussi vilains, c'est surtout toute la direction artistique qui est d'une profonde laideur. Ce cinquième épisode est bien le point d'orgue d'une saga qui aura été, pendant cinq ans, le summum du mauvais goût.