Des résistants, des allemands, et un maquis. Quelques scènes bien minutées, dans les couleurs grises exquises des films de la charnière années 60-70. Plein de seconds rôles attachants (Piccoli, Clémenti...).
Surtout une scène inspirée qui voit Cremer poursuivi à la course par les "Schleus". Et finalement... une fin grandiose qui souligne l'absudité de la guerre, si loin des happy-end conventionnels qui encombrent actuellement les écrans télé.
Créée
le 1 déc. 2020
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