Une esthétique bleuisantes sympa (ce n'était pas encore trop fashion, à l'époque), une réalisation Matrixienne assez honnête (c'était avant que tout le monde s'y mette), un film bien rythmé, ni trop mou ni trop frénétique, en dépit d'un nombre impressionnant d'évènements et rebondissements divers.
De jolis minois de vampirettes, avec une mention spécial pour la croupe vinylée d'une Kate Beckinsale, une grosse galerie de personnages et un univers touffu, empli d'intrigues, de complots et de trahisons, sans le manichéisme qui habite la plupart des productions similaires (aucun vrai méchant haïssable dans le film, en fait).