(...) Ainsi, le troisième volet de Die Hard grave ses pics incessants dans le roc. À peine le spectateur finit son ascension de l’un que se profile le suivant à l’horizon. Une sonnerie de téléphone bat la mesure, distille l’oxygène aux alpinistes. Les caprices du terroriste psychopathe au bout du fil permettent l’irruption de défis importables. L’increvable John Mac Lane s’éreinte à les enchaîner. Bruce Willis campe ce flic fort-en-gueule depuis le premier épisode, où il n’incarnait pas encore l’icône actuelle. Entre deux chamailles avec Samuel L. Jackson, parfaites pour manifester des tensions post-racisme, il fonce pour rallier une cabine publique dans le temps retord imparti par le malfrat. L’on multiplie les ruées sauvages (en taxi à travers Central Park) et les énigmes ronflantes, tordantes.
Lire la critique complète sur mon blog : http://critiquequantique.tumblr.com/post/108251554191/au-bout-du-fil-rouge