Villa Amalia par Lucas Vuilleumier
Huppert ne change pas vraiment de jeu. Encore une fois, elle est un peu folle, imprévisible et silencieuse. Décidant de changer de vie, de quitter son mari et de mettre fin à une brillante carrière de concertiste, elle vend son appartement parisien pour une destination italienne, une côte magnifique face à la Méditerranée que surplombe la Villa Amalia. Quête de soi par l’éloignement et l’abandon de tout souci, de toute contrainte, mais également de toute attache, Villa Amalia est un film un peu à part, curieux, mais surtout très beau.