Jack Nicholson, égal à lui-même, nous offre le joker... un joker qui ne se trouve pas à Gotham mais dans un hôpital psychiatrique, où folie et raison sont confondues. Ce film peut s'apparenter à la simple histoire d'une rébellion dans un hôpital psychiatrique, mais il a une portée tout autre. En effet, en visionnant ce film on se demande en permanence qui est malade ou qui ne l'est pas. Et le personnage interprété par Jack Nicholson est la parfaite frontière de cette folie.
On ressent encore, dans les années 1970, cette psychose autour de l'esprit, de la manipulation, des expérimentations, de ces bizarreries mentales. Vol au-dessus d'un nid de coucou est à la fois un cliché de cette psychose et une vision réaliste du traitement psychiatrique ces années là.
Un sursaut d'émotions inattendues à la fin du film, qui marque des scènes relativement plates mais avec des dialogues passionnants inscrivant ce long-métrage dans l'histoire du cinéma.
Gautier_Folliot
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le 14 août 2013

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le 14 août 2013

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Gautier Folliot

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