9
Rythme effréné
Jerzy Skolimowski inscrit Walkover, son deuxième long métrage, dans la lignée de sa première réalisation Signes particuliers : aucun (1965, Signalement d’un cinéaste en devenir). Plus encore que son...
le 29 déc. 2018
2 j'aime
Suite des aventures désinvoltes d'Andrzej Leszczyc
"Walkover" est le second long métrage de Jerzy Skolimovski, il s'agit de la suite de Signes particuliers: néant
Jerzy Skolimovski était un des chefs de file de la "Nouvelle vague Polonaise" des années 60, au même titre que Roman Polanski, Woijech J. Has ou encore Andrezj Munk. Il ne fera que trois films en Pologne avant de s'exiler aux Etats Unis.
Skolimovski est très jeune lorsqu'il tourne walkover, à peine 27 ans mais il a déjà une maitrise des plans et des cadres époustouflantes, son cinéma est d'une audace et d'une liberté déconcertante (rappelant par certain point le Jean-Luc Godard des débuts, notamment "Pierrot le fou" et "A bout de souffle").
On avait laissé Andrzej Leszczyc, quittant sa ville natale pour l'armée, après avoir été viré de son université. On le retrouve 6 ans plus tard (alors qu'un an seulement sépare les deux tournages) de retour dans sa ville; bien qu'il soit âgé maintenant de 30 ans, il parait toujours autant perdu dans cette Pologne socialiste.
8
Écrit par
Créée
le 23 déc. 2016
Critique lue 335 fois
D'autres avis sur Walkover
6
L'homme irrésolu
Deuxième long-métrage de Skolimowski, dont il interprète le rôle principal, réalisé à 27 ans. Un film fortement influencé par la Nouvelle vague française (ruptures de ton, faux-raccords, travellings...
le 1 août 2019
2 j'aime
5
Un monde en marche
Sur un quai de gare, un jeune homme ancien boxeur rencontre celle qui l'avait quitté quelque temps plus tôt, et pour resserrer les liens, elle lui propose de rester avec elle pour la journée. Tandis...
Par
le 16 mai 2023
1 j'aime
Du même critique
9
Critique de La Clepsydre par E_Doq
Chef d'oeuvre de w.j Has, ce réalisateur méconnu (mais ô combien brillant) qui restera tjrs en marge de la nouvelle vague polonaise. Film métaphysique, principalement sur le temps (thème chère à...
Par
le 25 janv. 2017
3 j'aime
8
Critique de Les Bas-fonds par E_Doq
Transposition de la pièce de Gorki (Russie) dans le Paris des années 30. Un film a voir pour la rencontre Jouvet / Gabin. Les dialogues sont savoureux, les personnage très attachant et la mise en...
Par
le 25 janv. 2017
3 j'aime
7
Très bonne satire sociale
Une très bonne comédie, d'un réalisateur quasi-inconnu Gregory La Cava, qui n'a vraiment rien a envier aux réalisations de Lubitsh ou autres Léo Mc Carey. On ne s'ennui pas une seconde, le rythme est...
Par
le 24 déc. 2016
2 j'aime
1
