Sur le papier, Milles Teller qui continue de jouer aux adolescents destiné à recevoir une leçon de vie et JK Simmons qui continue de jouer aux mecs aigris qui gueulent des profanités sur des petits jeunes.
Sur l'écran, un effroyable duel psychologique dans un environnement pas loin de Polanski, au tempo fougueux et endiablé d'une mise en scène précise, jamais à l'écart et toujours juste.
Quand Aronofsky tentait de faire il y'a 4 ans un discours sur la perfomance, il était terriblement brouillon et avait besoin d'images de synthèse de tout bords pour venir le réhausser.
Damien Chazzelle a juste besoin de sa caméra.