Risible lors de ses rares séquences d'action, beaucoup trop long, saturé de fonds verts baveux, handicapé par deux personnages de méchants cartoonesques dont les motivations puériles caricaturent l'avidité capitaliste de l'époque titre qui sert de carte postale pop bien commode, plombé par le speech final interminable d'une Wonder Woman qui semble toujours faire la morale à des enfants, conclu par une séquence happy end guimauve digne d'un mauvais téléfilm Hallmark ; ce second volet, que l'on attendait comme le blockbuster qui allait foutre sa trempe à la Covid, s'impose comme le symbole pathétique d'une année cinématographique dévastée.