Not that much in a Yellow Submarine (Sing it!)
Bon, j'ai ri. Parce que j'aime la tendance psychédélique, j'aime l'absurde et j'aime les Beatles.
Mais bon, on sent quand même que les fab four commençaient à se faire la tronche. À part à la fin, aucune trace de John, Paul, George ou Ringo qui n'avaient clairement pas que ça à faire que de doubler ce dessin-animé. Dommage.
Graphiquement, oui c'est intéressant, c'est... à part. Beaucoup de couleurs, beaucoup de formes, ça sent surtout le freestyle sous acide.
Et c'est sans doute le problème principal de ce film qui a un scénario cruellement mauvais où très mal exploité en tout cas. On se marre à la première heure, oui, mais la fin devient quasi-indigeste. Les dialogues sont espacés par des silences insupportablse et soporifiques. Trop c'est trop et on a plus l'impression de voir un remplissage maladroit. Genre du psyché pour faire du psyché. Rien d'autre.
Je dois par contre avouer que le film m'a réconcilié avec l'album Yellow Submarine qui m'ennuyait à mourir avant. Et bien sûr Sgt. Pepper est toujours un plaisir à entendre.
À voir pour le côté culturel si on aime les Beatles. Mais bon, c'était la fin du groupe et ça se sent, malheureusement.